Annales des Mines (1874, série 7, volume 5) [Image 267]

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CARTE GÉOLOGIQUE DÉTAILLÉE DE LA FRANCE.

LÉGENDE GÉOLOGIQUE GÉNÉRALE.

ment en contact; les diverses affectés aux granites, aux porséries de couleurs contrastantes phyres et aux trachytes; le vert, sont d'ailleurs établies confor- le bleu et le violet sont affectés mément à l'ordre naturel des aux diorites, aux mélaphyres et

couleurs simples. On a enfin aux basaltes. Les teintes vives évité d'affecter aux Étages com- et franches sont réservées aux prenant principalement des Dé- Groupes où dominent les Ropôts complexes, détritiques ou métamorphiques, les nuances vives et franches réservées aux Étages formés de dépôts dont les éléments sont plus directement ou plus simplement fournis par les émanations. Lorsqu'il importe de distin-

ches

nettement constituées,

dont elles rappellent, on le voit, les nuances dominantes ; les teintes brouillées sont appliquées aux Groupes où dominent les Roches imparfaites ou altérées.

Lorsqu'un groupe éruptif

guer localement, à titre de Sous- comprend des formations feldÉtages, une des formations dont spathiques et pyroxéniques en-

se compose un Étage sédimen- chevêtrées, les rectangles dis-

taire complexe, on double la posés en marge de la feuille teinte conventionnelle sur l'af- ou de la Légende générale, fleurement local, et cette teinte pour donner l'échantillon de doublée,

échantillonnée

en teinte

conventionnelle,

qui sont cependant très-souvent indispensables pour préciser la détermination. Ces noms se trouvent dans les listes plus développées qui accompagnent les séries paléontologiques des

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placé à la fin de ces explica-

tions. Lorsqu'il y a lieu de distinguer, dans un même Groupe, plusieurs Roches communes, les différentes Roches sont l'objet d'énumérations dis fossiles photographiés. L'énu- tinctes, et chaque énumération mération est faite, pour chaque partielle commence par le rapÉtage, suivant l'ordre zoolo- pel de la notation lithologique gique établi dans l'appendice qui sert à marquer la nature du tableau de Lithologie placé générale de la Roche, conforà la fin de ces explications. mément aux conventions du S'il y a lieu de distinguer plu- tableau de Lithologie. Les énttsieurs Sous-Étages au point de n'épations des minéraux qui vue paléontologique, les énu- composent les roches et les mérations des faunes et des matières exceptionnelles des flores de ces Sous-Étages sont filons, des amas ou des coufaites successivement. ches sont inscrites, dans les deux colonnes réservées à ces catégories, à la place qui correspond à l'âge de la venue.

sont

forme de bande ou d'onglet coupées en diagonale, de madans le rectangle de la légende de la feuille, est rappelée de la même manière dans le rectangle de la Légende générale. Dans une colonne consacrée à la Paléontologie, et intitulée Fossiles, sont indiqués, en regard du nom de chaque Étage sédimentaire, les principaux restes organisés que l'on y rencontre. Afin de comprendre dans le cadre restreint du Ta-

nière à offrir concurremment les deux teintes et les deux notations.

Sur les Cartes, les lettres caractéristiques des Étages ou des Groupes se distinguent par leur plus grande dimension des lettres qui sont employées pour les notations litholo-

Une colonne consacrée à la Minéralogie et intitulée Miné-

giques.

raux indique, en regard des

divers Croupes ou des divers Étages, les principales espèces minérales qui y sont disséminées. Les énumérations des minéraux sont faites suivant bleau le plus grand nombre l'ordre des Substances caracpossible de fossiles, on n'a pas téristiques établi dans l'appenmentionné les noms d'auteurs, dice du tableau de Lithologie

La notation de l'Étage ou du groupe, entre parenthèses, marque les points où la formation est constatée, mais ne peut donner lieu à un contour. Les notations des formations sous-jacentes dont les con-

tours sont tracés en ponctué peuvent être inscrites, également en lettres ponctuées, auprès de ces contours, du côté inférieur. Lorsque, par des ouvrages d'exploitation marqués sur la Carte ou même par des fouilles dont on a perdu la trace sur le terrain, on a acquis la certitude que la for-