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le yqtoyen Pelletier en a fait et publié la découverte en 1792 (1). B. Eh
proposant l'emploi ci-dessus je dois. observer en même-temps qu'il du speis guère praticable, dans les circonstances ne saroit actuelles où les besoins de la guerre absorbent tout le salpi..'1.re qui se prépare en France , et ne permettent pas d'employer ce sel à la fabrication de l'acide nitrique , ou eau-forte.
Le speis de métal de cloche , mis en Lud'projetté et brassé dans le , avec le soufre métal fondu. 11 résucre, de cette combinaison , sulfure de, Cuivre et d'étain. une matte ou On p,orirroit employer cette matte (comme on fbit celles de cuivre, pour la fabrication du vitriol ,ou sudfale de cuivre, dont la consommation est très - consicrable dans les
ViniO4,2ticn du sPeis
le moyen
soife.
sion , se combine très-bien
ris.
La matte (ou sulfure de cuivre et d'étain) faite avec le speis , éiant à plusieurs reprises, chauffée au rouge ou e,xidée , dans un fourneau de reverbère , et ensuite plongée dans l'eau , s'y convertiroit, au moyen de ces oxidatiorts et immersions successives en sulfate ou vitriol de cuivre_, et en sulfate ou vitriol d'étain. Le sulfate , ou vitriol de cuiPre , seroit ) nyei son inémo:re , journal de physique , du mois d'avril
page sac,.
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facile à séparer de celui d'étftin , en raison de sa solubilité dans l'eau, qui est très-grande , tandis que celle du sulfate- d'étain, étant presque nulle, onretrouveroit ce dernier sel au fond des vases (où s'opéreroit la vitriolisationde la matte ) et dans les eauxmères du sulfate de cuivre. Le sulfate d'étain, séparé du cuivre, et décomposé par les alkalis, fourniroit un oxide d'étain ;'propre à la fabrication de l'émail. Ce sulfate ou vitriol d'étain, mêlé avec de la chaux et de la poussière de charbon, et fondu ensuite au fourneau de reverbère , donneroit de l'étain en régule. X B. J'observe que le moyen indiqué ci-dessus de tirer parti du speis ou résidu de l'affinage du métal de cloche, ne seroit avantageux qu'autant qu'on pourroit se procurer , à bas prix , le soufre nécessaire à la vitriolisation-; ce qui sera difficile pendant la durée de la guerre. Emploi ch, Le ,speis peut être employé aussi très-utilement dans les fabriques de boutons blancs 'Pei' P?"' fab métalliques , et autres objets de clinquaillerie toniribcaact'b'inanG:. en tombac blanc. La pesanteur spécifique du speis ;étant considérable, on a pensé que cette matière pourroit être avantageusement employée à lester
les vaisseaux de la République , jusqu'à ce qu'un procédé économique d'en retirer l'étain ait été trouvé. Mais , dans cet emploi , n'auroit-on pas à. craindre que l'eau de mer qui pénètre dans la cale, réagissant sur le lest de,