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Essai 5111' l'état présent de la Suisse, ou Lettres de COXE , avec les notes du citoyen RAMOND. Itinéraire d'EBEL , en allemand, dont il vient de
paraître une traduction française à Bâle , avec beaucoup d'augmentations et de corrections. Les Voyages de SAUSSURE-, dans les Alpes. Ceux de STORR en allemand. Ceux d'AND REOE , dans la même langue. Voyage dans la Suisse italienne, par J. R. SC HINZ de Zurich. Guide pour ceux qui vont visiter Lanterbrunn , le Grindelwald , le pays de Musli, par M. le pasteur WYTTENBACH, de Berne. On en a deux éditions, l'une en français, l'autre en allemand. L'Ouvrage du père Pi NI, sur le Gothard. L'Itinéraire du citoyen BERTHou , que nous avons cité plus haut, et un autre petit ouvrage du même , intitulé : Excursions dans les Mines du Faussigny, Quelques Mémoires .du comte RAZOUMOWSK T.
Les Ouvrages de MM. WIED et STRUVE , sur
les salines du gouvernement d'Aigle, Uri Mémoire de HALLER , sur ces salines.
Un autre de ce célèbre naturaliste, sur un vent xer,9,-ulier qui règne à Roche.
Le Manuel du Voyageur minéralogiste ;
BESSON.
par le C."
L'ouvrage dont nous rendons compte, présente le détail de quatre routes principales qui mènent au G-othard. L'une du pays de Vaud, l'autre de GenèVe--, la 3. de Disentis dans les Grisons enfin , la 4..c des bailliages de la Suisse italienne
soit par Airolo , ou par le Simplon et la Fourche, Il est terminé par un catalogue systématique et
raisonné des principaux fossiles du Gothard , ré'digé par le citoyen Berthout , sous les yeux de Werner , et pareil à celui que nous avons donné des fossiles de fa Vallée de Chamounix , dans le
n.° VII de ce journal'. La carte lithologique ou pétrographique, dont il est fait mention dans le titre de l'ouvrage , a été levée en 1791, par MM. Exchaquet , Struve et Berthout. Elle est exécutée avec beaucoup de soin: des abréviations minéralogiques indiquent les. différentes natures de terrains , et quelquesUns des minéraux les plus remarquables qu'ils renferment ; elle cOmprend cette partie intéressante des Alpes , qui verse ses eaux dans la mer du Nord , la mer Méditerranée et l'Adriatique en donnant naissance à la Reuss , au Rhin , au. Rhône et au Tessin. Sur l'alliage métallique , connu à la Chine sous le
nom de pak-fong ou cuivre blanc , par I.
ENGSTROEM,(Elarait des Mémoires de l'Aca-
ethnie des Sciences de Stochhobn , année 1776 1." trimestre , et traduit par C OQUEBERT le fils.).
Les Chinois donnent le nom de pak:feg à un métal sonore et qui ressemble assez à l'argent ce nom signifie en leur langue cuivre blanc; le cuivre rouge ordinaire porte celui de ton-fong,-. Le cuivre , uni intimement au nickel, se rencontre en abondance daus quelques mines de la Chine; en faisant fondre ce ininérai , on obtient un métal rougeâtre qui n'est pas encore du véritable pak-fong ; aussi l'appellerons-nous pakfong brut. On l'apporte à Canton, sous la forme d'anneaux triangulaires de S à- 9 pouces de diamètre