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591.
STATISTIQUE GÉNÉRALE.
Les différences moyennes pour les saisons et l'année sont donc les suivantes : Hiver Printemps
44,4 miI . 34,4
Eté 22,4mi 1 . Automne 52,2
Année 55,2mi1.
Chaque année présente des différences dans l'intensité de son maximum et de son minimum de pression, ainsi que pour l'époque à laquelle chacun d'eux se produit ; par suite, il y en a aussi dans l'étendue de l'oscillation annuelle ; c'est ce que montre le tableau suivant : Maximum . 1768 1769 1770
Avril Septemb. Décemb. Novemb . Janvier
1771
Novemb .
762,
1772
Juin
762,
1850 1851 1852 1855 1854 1855
Mars Décemb . Mars Novemb . Janvier Décemb .
767,8 763,8 766,9 767,5 771,6 767,4
1767
J
Minimum .
Différence.
760,3ni i l•
Janvier
750,9mi l .
29,4mi1.
762,6 766,4 764,2
Juillet Février Novemb . Janvier } Mars -
746,7 728,7 724,1
45,9 57,7 40,1
755,2
28,8
724,1
37,9
730,7 755,6 728, 725,6 725,5 720,
37,1 30,2 58,9 41,7 46,4 47,4
Novemb . Février Novemb . Février Janvier Mars
Dans chacune de ces deux périodes les résultats ont beaucoup d'analogie ; en effet : 1767-72 maximum 766,4mil• minimum 716,7e . différence 49,7 e 771,6 1850-55 720, 51,6
Comme on ne sait pas exactement l'altitude à laquelle la première série d'observations a été faite, le maximum de la variation barométrique doit être fixé à 51 mill . 6, pour Auxerre ; dans certaines années les extrêmes sont beaucoup moins éloignés car ils différaient seulement de 30 mill . 2, en 1 851 , et même de 8mill . 8,en1ii4. maximum de la variation diurne . - L'amplitude de la variation diurne d'un midi au suivant ne dépasse qu'assez rarement 4 5 mill . ; une seule fois, dans les six dernières années, en novembre 1852, elle a atteint 23 mill . 4. , ce qui pa-
