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se forme en 24., heures , dont 12 heures pour le sannage
efforts, en les arrosant légèrement d'eau non salée : il faut employer ce moyen facile..
de soude se cristallise confusément avec les autres selsj mais il est bien moindre pour le gros sel qui est cinq jours -.à. se former, dont quatre jours pour le soccage, pendant 'iequel le mutiate de soude se sépare tranquillement des autres sels , et se cristallise en grains plus gros et plus purs. Le poêlon donne toujours du sel plus pur que la poêle, parce qu'une partie. de l'eau salée qu'on y introduit, a déjà, déposé son schdot ; en outre, la chaleur moins vive produit une évaporation plus lente, qui permet au muriate de
Si l'on fait attention la température de l'étuve est au moins de 25.que degrés , qu.2elle n'est entretenue que par le calorique qui les parois en brique de la cheminée , on enpénètre conclura qu'une grande quantité de calorique est perdue en s'échappant par le tuyau de la cheminée
- qu'ainsi
l'on fait encore une consommation inutile de combustibles. Pour remédier à ces divers inconVéniens et obtenir un sel plus pur en se servant des mêmes
et. 1.2 seulement pour le soccage , pendant lequel le muriate
soude de se séparer et-de se cristalliser plus régulièrement.
25. L'évaporation est plus lente dans le poêlon, )e sel à gros grain ou en gros cristaux qui eut et résulte , est aussi plus pur que le premier. 26. 11 arrive 'souvent que l'eau fuit , soit par
les jointures des tôles , soit par les crevasses qui se font au fond des poêles ; ce qui exige une dépense considérable d'entretien , tant en poêles neuves
qu'en' réparations. L'eau qui s'écoule est perdue -pour les salaisons ; elle passe dans le Cendrier et gâte toute la potasse qu'on aurait pu retirer des Cendres : car les cendres des trois salines forment un objet annuel de plus de douze mille quintaux,
qui auraient pu fournir environ mille- quintaux de potasse. C'est ainsi qu'un premier vice de construction entraîne à sa suite des inconvéniens. Ces coulées s'établissent'entre les joints ou les gerçures des, feuilles de tôle , ainsi que. nous l'avons dit, pribcipaîement lorsqu'on ralentit le feu par l'effet du raccourcisSement de la tôle ; on parvient à les arrêter en ranimant le feu dessous ( ce 'qui est souvent difficile par l'abondance de l'eau qui tombe) , en bouehanten dedans de la poêle, l'endroit de la coulée, avec du schlot , ou enfin avec de la chaux tenue avec des étoupes ;- ce qui a l'inconvénient d'augmenter la quantité du muriate calcaire, Une tics causes des coulées est encore dans la destruction des poêles, occasionnée 'par l'enlèvement des écailles à coup de masse. Nicolas est parvenu à les clétacher. 5111$
bâtimens où sont les poêles actuelles
propose 1.° De supprimer le mur et la cheminée qui 'séparent les poêles de l'étuve; 2.° De construire d'autres
l'extrémité de l'étuve
cheminées
A Moyenvic et ailleurs, dans beaucoup de poêlés la cheminée n'est point placée entré la et l'étuve ; elle traverse horizontalement l'étuve-, et poêle un gros tuyau quarré garni en tôle est alors .foi.mée par s'élève à-peu-près àla hauteur de , qui , posé sur le sol ,pouces , et va gagner la cheminée en briques qui est au 30 bout ce tuyau que l'on dispose des couloirs : c'est le long de coniques en bois dans lesquels on met le sel égoutter pendant vingt-quatre heures, d'une cuite à l'autre , pour le menu sel : malgré cette disposition , la vapeur sort encore très - chaude des cheminées , et forme une déperdition considérable de calorique ; on y remédie en partie ,. dans quelques ateliers , par un régulateur appliqué à la cheminée en briques ; mais il serait sans doute très-utile de trouver un moyen d'employer ce calorique pour évaporer sécher les sels. On pourrait conserver utilement l'eau et les étuves en les plaçant plus élevées ( le calorique gagnant toujours la partie supérieure), et en les faisant par-tout traverser par les tuyaux des cheminées.
30. 3.° De supprimer la poêle et le poêlon
31.
4° D'établir à leur 'place , d'un bout à . l'autre de chaque bâtiment , quatre rangs de chauB2
Note,