Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
( 79 )
( 78 )
Io. En Amérique.
Dans les travaux les plus profonds de cette mine , trouve quelquefbis un amalgame naturel d'argent et de merdure.
Cronstedt , Minéralogie. Lettres de Dcmeste , t.
page 109.
Au Pérou.
Mine de Guanca-Velica.
Fréier,, Voyage à la mer du Sud, page it.
8. En Russie,
Histoire naturelle et morale des Indes , par Acosta.
- Zimmerman dit, dans l'introduction à son Histoire
géographique des hommes, que Pallas l'a assuré que
Voyage ait Pérou, par Bayer. Mémoires philosophiques sur l'Amérique ; par D. ,Ulloa , traduit par le Fevre de Villehrune.
le cinabre ne s'était trouvé jusqu'ici , en Russie que dans une des mines du district de Nertschinsk éniDaourie'-i'Iideux werstes de la Montagne de soufre. d'Ildekan.
I ldebansbi Sernajagora )
,
près
des frontières de la Chine. On ne trouve cependant:point cette substance dans le catalogue què-: Georgi a donné des minéraux de cette partie de Russie. ( Voye.em.yoyage en Rassie. Pétersbourg,
1775,in-4. ,, pages 34.8 -397 et suiv. Georgis Reisen , &c.) 9. En Asie, A fa Chine;
Mines de mercure dans la province de Honquang. Lettres Édifiantes ;- 22.e recueil ,,page 358 ; par le père d'Entrecolle. Kempièr dit que le mercure et le Cinabre qu'on emploie au JaPod, vienent de la Chine. Histoire du japon, traduction française. Amsterd. I.cr VOI., page 179. 1732, Herman , dans une Esquisse- Statistique des productions de la Chine, met au rang de ces productions
le mercure et le cinabre des provinces de Chuquan et de Sutschuan. Aux îles Philippines.,
Il existe du mercure dans celle de Panal suivant Gemelli Careri. Voyage autour du monde.
Paris, 1719, tome Y, page 119.
Paris, Buisson, 1787, 2 VOL Suivant cet auteur , les mines de Guanca -Velica. rendent 4.3o+ quintaux ; on en emp!oie 12.° par marc d'argent pour traiter les minérais d'argent par l'amalj
gamation.
Lettres du baron Nordenpllicht, directeur des mines
du Pérou, datées de Guanca-Velica , le 3 nov. 1790 , dans le Journal des mines allem, 1792,
rage 544. Le filon passe pour avoir 15o pieds de puissance ; la gangue est de grès , le minérai de cinabre. Peut- ëtre
est-ce plutôt une couche- qu'un filon ; 50 quintaux de minérai ne donnent que 6 à 8 livres de mercure. Il y a soixante quatre fourneaux en activité. , que l'on. chauffe avec une herbe qui croît dans les marais. Au Chili.
Il est question des mines de mercure du Chili, dans l'histoire naturelle de ce pays, par Molina. V. SUR la manière de traiter les minérais de Mercure.
Dans la 'plupart des ouvrages que nous avons , on trouve des détails sur les méthodes employées dans les différentes mines pour obtenir le mercure , particulièrement dans le mémoire de cités
Jussieu sur les mines d'Almaden dans les voyages