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SUR le cinquiine chapitre de la Géographiephysique _de TORBERN BERGMANN
,
inséré
dans les N.'s- XV et XVI de ce Journal ; Par le C.e.
I-I A ti Y.
LE
nom de Bergmann ne rappelle communément que l'idée d'un des plus illustres chimistes de ce siècle , et beaucoup de personnes ignorent qu'avant de se livrer tout entier à la science qui est devenue le plus solide fondement de sa'gloire , il avait cultivé d'autres branches de connaissances; dont plusieuxs même étaient étrangères à la.chimie , avec un succès qui seul aurait pu lui obtenir une place parmi les savans d'un mérite distingué. Les mathématiques et l'astronomie l'avaien occupé quelque temps ( ; la physique lui avait fourni la matière de plusieurs recherches intéressantes. Il
avait étudié la botanique , et joignit depuis à. Cette étude celle des insectes, où il fit une découverte qui attira l'admiration de Linnus lui'même , et que ce naturaliste célèbre récompensa
en donnant à une nouvelle espèce de phalène le nom n de phalna Bergmanniana ( 2 ). ) On trouve son nom sur
la liste des astronomes qui
ont observé le premier passage de Vénus sur le soleil, parmi ceux dont les résultats méritent le plus de confiance. (Hist. de l'académ, des sciences, année 174 , page 34.) (2) Il avait reconnu qu'un corps qui, se trouve dans quelques eaux , et qu'on nommait coccus aquaticus , était l'oeuf d'une sangsue , dans lequel se trouvaient renfermés dix à douze petits. Linneees , après avoir vérifié ce fait par lui-même", écrivit au ha.i. ,titt mémoire de Ilerenicon->Vidi et obsturui. ( Ibid. , page 33.)