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48 Chezery,, au lieu dit les Champs rie Forand la rivière de la Valserine , à 21200 mètres , près est de Nantua, à 8600 nord-est de Châtillon,nordune 'Mine qu'il abandonna bientôt, ayant reconnu, disait-il, que ce n'était pas de la houille qu'on trouvait en cet endroit, mais une terre noire
très-peu combustible. Nous n'avons point d'autres détails sur cette entreprise , et nous ignorons si le porté par le citoyen Delphin , doit etrejugement regardé comme définitif; car le plus souvent les affleure mens des mines de houille n'offrent d'abord, comme on sait, qu'une substance friable ou pâteuse qui n'est d'aucun usage : c'est celle que les mineurs
de Liége ont 'nommée teroulle' ou tiroule.
mê,e,
environ au nord-ouest de Bourg, chef-lieu du département. Ce même endroit a , ou du moins avait en 1777, une manufacture considérable de faïence. Le citoyen Lecamus a indiqué, dans le Journal IVIeme carte, cant. de Pont- de physique de 1779, du bois bituminisé d'Ain comet conbon.
étant la suite d'une mine semblable, reconnue audelà du Rhône, sur les terres de Savoie.
On trouve aussi l'indication d'une mine de combustible dans la commune de Corbonod ;canton de Seyssel., à 25000 mètres au nord-nordest de Belley, et 'à i5 oo mètres environ au nord de Seyssel. Mais probablement ces deux derniers articles ne sont autre chose que la couche de sable im-
prégné d'asphalte, dont nous avons parlé plus haut, et qui a pu être prise pour de la houille, ou, du moins; pour-un indice de cette substânce par des personnes peu versées dans la minéralogie.
SUBSTANCES MÉTALLIQUES.
Indications à vérifier.
On lit, dans la description des mines de catit. de Tref' de terre par Morand, que Cette substance charbon fort, CQI/M1Use trouve 71e de Meillo- près de Meillonaz , dans la Bresse , à 7 kilomètres
e.'arnu
( 49 ) la Dorche. Cette ,mine était annoncée comme
verti en partie en jayet , qui se trouve le long de l'Ain , au-dessus de Varambon et du même côté de la rivière , à 20000 mètres environ au sudsud-est de Bourg, et à 2000 OU 2200 mètres de Pont-d'Ain. Les archives des mines font mention d'une permission accordée, en 1788, à Ricamier,, Carny et compagnie, pour exploiter, dans un arrondissement d'une lieue de rayon, une mine de substance combustible, qu'on qualifiait de charbon de terre, ,
située sur-le bord du Rhône, depuis le Parc jusqu'à la
Usine à fer en activité.
Le citoyen Jeannin possède dans la commune de Dortan , au nord de ce département, et sur
Marne carte, cant. ci'0100ax ,
les bords de celui du Jura, à 2 myriamètres au de Donen,. nord de Nantua,, et à 7000 mètres aussi au nord d'Oïonnax , une petite forge avec un martinet. Il emploie, dans cette usine, de vieilles fontes, des marmites et de vieux fers qu'il fait venir des environs, et même de s5 à 20 myriamètres. Les combustibles qu'on y consomme , sont de la houille de Commune-d'Armes (Saint-Étienne-en-Forez ), et des charbons de bois qui viennent de 3 ou 4 myriainètres, n'y ayant pas de forêts plus près de l'établissement. Les produits sont des fers martinés , propres à la
fabrication des instrutnens d'agriculture. Au commencement de la guerre, on y a fait des baïonnettes. Le citoyen Jeannin a fait des essais' pour obtenir de l'acier. Journ. des Mines, Thermidor, an IV. D