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il-a reconnu de plus, que les deux sommets 'deg cüstaux de cette substance étaient animes d'électricités. contraires. Ceux qui ont révoqué en doute ou nié les résultats de ce savant (2) , d'après l'observation que chaque bout de la tourmaline attire bU..r.epousse indifféremment des Corps légers , n'a-
Naient point l'idée de la vraie théoriede l'électri-
- ',Cité. Pour obtenir des effets constans , il faut pré-
senter à la tourmaline un corps qui soit déjà luim'éme électrisé ; ce corps .sera toujours attiré par Je bout de la tourmaline qui possédera l'électricité contraire à la sienne , et repoussé par le bout qui aura la même espèce d'électricité : c'est un phénomène analogue à celui de deux aimans. -j'ai annoncé comme un résultat, qui me paraissait général pour tous les cristaux électriques par la chaleur, qu'ils .dérogeaient à la symétrie des 'Cristaux ordinaires par des différences entre les .i'formes des 'parties dans lesquelles résidaient les -sleUx...,électricités, ce qui pouvait mettre à portée
- d'indiquer d'avance, à la seule inspection d'un
icristal , le côté qui donnerait des signes d'électricitér. vitrée, et ceitti qui manifesterait l'électriAcie résineuse.
Voye pour la description de l'appareil relatif iaux expériences sur 'l'électricité de la tourmaline pour.les lois auxquelles est soumise la structure des cristaux de cette substance, et pour le rapport -entre ses formes et les pôles dans lesquels résident ses deux électricités, le Journal des mines, 11.0 XIX, page 6. ; les Leçons de l'école normale, tome VI, .
et le journ: d'hist. nat., .0.0 XII,p. 44"
p. z et suiv. ( 1)
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)
Lettre du duc de Noya sur la tourmaline, à M. dc
Buffiyz...Cristaltegr. de de Lisle, t. 11., p. 371 ,001, 93.
1. AMPHIBOLE (N. 'N.), c'est-à-dire ,épiii,oqué. ou ambigu.
SchorI opaque rhomboïdal, de Lisle, t II, p. 37.9 et suie., variétés 4. et 6, ho-blende ; Schorl-blende schorl-lamclleux, Lamétherie' Sciagr. Le', p. 295Sa pesanteur spécifique est 32500 ; il ne s'élec-
trise ni par le frottement , ni par la chaleur :sa structure est très-lamelleuse. Sa forme primitive est un prisme oblique à bases rhombes, dont les plans
sont inclinés entre eux de 124d 34' d'une part', 26' de l'autre. Les coupes parallèles
et de 5 5 d
aux pans sont très-nettes; celles qui correspondent aux bases ne sont que présumées. L'amphibole est , de toutes les substances miné.
raies que l'on a réunies sans fondement sous le nom commun de schorl , celle qui l'ait porté le plus généralenient. Sa variété dodécaèdre a beau-
coup de rapports avec --Celieines-tourmalines dont les faces ont à-peu-près les mêmes. inclinaisons respectives (1). Voici les principaux caractères distinctirs entre ces deux substances. La tourmaline est beaucoup moins lamelleuse ; les indices de ses joints naturels parallèlement à l'axe , donnent prisme hexaèdre régulier : dans 'l'amphibole , le prisme qui résulte de la division mécanique , est seulement tétraèdre , et a des angles sensiblement différens , d'après ceqùi a été dit plus haut. La tourmaline est plus dilue que l'amphibole -; ci n'est point électrique comme elle par la chaleur ; (,) J'avais réuni l'amphibole avec :la tourmaline, dans les Ylérn. de l'acad. des sc., an. 1787 , p. depuis cette erreur, dans le Journ.
et suiv. ; j'ai r,Ctifié nat. , 15 juillet 1792
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