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sa Sciagraphie, et a ..été le premier méthodiste qll` suivant ses propres expressions , ait enlevé aux gemmes leur chef , pour le placer dans la classe des combustibles (1). Pendant le Cours de toutes ces expériences
on ignorait que Newton avait en quelque sorte devancé , à l'aide de la physique', les résultats 'de la chimie sur le même objet , et sur un autre encore phis important dont .nous parlerons bientôt ( 2 ).
Cet illustre géomètre, ayant entrepris de cornP-arer les puissances rétractives des diffirens corps .diaphanes avec leurs densités ( 3) , trouva. qu'en .
(1) Sciagraphia ergol mineralis , Lipsice , J 7S 2 , p. 96.
(s) La première édition anglaise de l'Optique de Newton,
oît se trouvent l'es résultats dont il s'agi , fut publiée en 704 ,quelques années après les expériences faites devant le duc de Toscane; mais, outre qu'il ne paraît pas que Newton eût alors Connaissance de ces expériences , il dit , dans le premier avertissement placé en tête de son Optique, qu'il avait composé une partie de cet ouvrage en 1675 , laquelle avait été lue
royale de Londres, et avait ajouté le reste environ douze ans après , c'estqu'il dans les assemblées de la société
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)
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.général elles étaient en rapport les tmeS avec les .atatres , mais que les corps considéré S sous ce 'peint de vue , formaient comme deux classes distinctes , l'une de ceux qu'il regarde comme fixes tels que les pierres , l'autre de ceux qu'il appelle gras , sulfureux et onctueux , tels que les .huiles Je succin, &C. Dans chaque classe , la puissance rétractive variait', ainsi qu'on l'a dit, à-peu-près dans le rapport de la densité ;' mais les Corps de la seconde classe , à densité égale , avaient une puissance réfractive beaucoup plus considérable . que ceux de la première. Or , la grande puissance rétractive du diamant
Je plaçait parmi les corps onctueux et sulfureux ( et dans la table où Newton avait présenté la série des rapports entre les puissances rétractives et les densités , le diamant se trouve à.la suite de l'huile de térébenthine et du succin. Newton a-vait conclu
de ce résuliat , que le diamant était probablement
une substance onctueuse coagulée , expressien qui
dans le sens que lui-même y attachait, est un synonyme d'inflammable.
Ce grand géomètre va plus loin; il remarque que
u-dire , en 1687.
, ?roi). r o. Pour évaluer les puissances réfractives , Newton suppose que le rayon de lumière cr
la théorie des- mbuvemens accélérés., que si l'on suppose ligne rn constante , la puissance rétractive sera' êomrne le carré de la perpendiculaire go. Quant à la densité, elle s'estime , comme l'on sait , d'après la pesanteur spécifique dg
même, il suppose que l'angle d'incidence c r ni soit sensiblement droit"; ii décompose ensuite le mouvement r g du rayon rompu en deux directions , dont l'une r n est située sur la surface réfringente , et l'autre g n lui est perpendiculaire. Comme le rayon incident cr avait une vîtesse censée nulle dans le sens de la même perpendiculaire , tout l'etiet du mouvement qui a lieu suivant cette direction ,.prOvient de la force accélératrice,
Chaque .corps.
(3) 'Optice ,
lih. II, pars
) rencontre la -surface a b de chaque corps sous un angle presque infiniment petit c r a ; ou , ce qui revient au
ou de la puissance rétractive du milieu. Or, on prouve par
(i) Snivant Yeivton, le rapport entre les sirius.d'incidence et de réfraction est, par exemple , pour le quartz transparefit,
- d'où l'on conclut que la ptlissaocu
et pour le diamant ,
réfractive du quartz- est à celle du. diamant, comme 540 à. 14556, c'est-à-dire, à-peu-près comme 3 à 8, tandis que densité du quartz est à celle du diamant dans le rapport beau.; coup moindre d'environ .3 à 4. B