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6,1 3
±6. I. 2 )
d'une poussière farineuse de la même couleur : mais il y en a d'artificiel , en octaèdres réguliers. Le ci,. toyen Guyton a envoyé à Romé de Liste, en 17? 1,
de ces octaèdres, qui étaient très-prononcés,
esPÈçy,,
3.'
Arsenic sulfuré.
1."
V AR,T ÉT .É.
),
de l'argent antimonié ( argent rouge ) , qui est conducteur de l'électricité. Un autre caractère distinctif entre les mêmes substances , se tire de la couleur que présente leur poussière obtenue par la trituration : celle de l'arsenic sulfuré rouge est communément d'un jaune orangé, et quelquefois d'un jaune pâle ; celle de l'argent antimonié est toujours rouge.
Arsenic sulfuré jaune,
TREIZIÈME GENRE.
Orpiment natif; orpin, ou arsenic jaune fossile, de
Molybdène.
2., VAR 11T,É .
ON ne connaît point encore sa pesanteur spécifique. Bergmann indique 3,460 pour celle de son acide.
'Lisle, t. III. p. 39. Orpiment natif, Lamétherie Sciagr., t, II, p. 214,
ES PÈCE U N I QUE.
Arsenic sulfuré rouge.
Rubine d'arsenic ; réalgar natif; soufre rouge des vol.,
tans, de Lisle t. III, p.33. Réalgar natif, Lainéth.,.
Sciagr., t. '1,p.
Sa.cri5ialiisation , suivant Romé de Lisle, paraît etre une modification de roctaèdre rhomboïdal du soufre ( i ). Il serait intéressant de pouvoir vérifier ce rapprochement par l'examen de la structure, et par la mesure des angles ; mais les cristaux de
cette variété que nous avons observés jusqu'ici, étaient trop petits pour se _prêter à une compa,
e
raison exacte. L'arsenic suiftir'é rouge ( et i1 en faut dire autant
de Celui qui est jaune ),séLrapproche encore du soufre, en ce qu'il 'est ididLélectrique , et acquiert l'électricité résineuse par le frottement.' Ce caractère peut servir à fairedistinguer la variété rouge,
Molybdène sulfdré ; sulfure de molybdène des. chimistes. Molybdène, de LiSle , t. III, p. 4, note 2; Soufre uni avec l'acide de la molybdène , Lamétherie Sciagr. t. //, p. 12. Molybdène minéralisée par le soufre, ibid.,
p, 262.
J'ai fait connaître dans le n.° X/X du Journal des/mines, p.70 et 71, deux nouveaux caractères distinctifs entre le molybdène sulfuré et le carbure de fer : l'un est tiré de la propriété qu'a la molybdène de communiquer à la résine l'électricité vitrée à l'aide du frottement ; au lieu que le carbure de fer ne lui en communique aucune , du moins lorsqu'il y laisse son unpreinte métallique le second consiste dans la propriété qu'a le sulfure de molybdène de former sur la faïence des trait
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