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V I-I.
g.
Réduaion de l'acide du Plomb rouge à l'état métalliee, QUOIQUE les propriétés de l'acide du plomb
précédens , 'rouge décrites dans les paragraphes suffisantes pour convaincre ceux soient à la rigueur habitude de traiter les matières qui ont quelque métalliques , que cette substance appartient à la même classe , cependant il était intéressant, pour mettre en quelque sorte le sceau de l'évidence à la démonstration , de réduire cet acide à l'état
Pour parvenir à ce but, j'ai pris 72 parties de l'acide dont il est question, extrait du plomb rouge par le moyen de l'acide muriatique , de la manière indiquée 5.'1V ; je les ai introduites dans' un creuset de charbon , que j'ai placé dans un Creuset de porcelaine dure , rempli lui-même de poussière de Charbon,
.
Cet appareil, placé dans un fourneau de forge, t _reçu pendant une heure l'action d'un fêtt trèsvif, alimenté par le vent d'un fort 5oufffet à trois itiyères. Le creuset étant refroidi et brisé , j'ai trouvé , à Ma grande satisfaction , dans le petit creuset de charbon une masse métallique, d'un gris blanc Iptilltnte, très-cassante, et à la surface de laquelle il y -ai beaucoup de cristaux en barbes de plumes de h. même couleur et parfaitement métalliques Cette masse métallique pesait 43 parties. Il paraît, par le résultat de cette Opération, que Voxigène n'adhère pas avec une très-grande force.. « à la base métallique; et qu'il contient près des 0,4o de son poids de ce principe acidifiant. -
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VII
I.
_Propriétés- du m'étal de PlzMrb:rou,,,e.
Cr métal, e comme je déjà dit 'plus,ilaut , une couleurblanche t,i_raut sur le grisi, if-est trèsfragile , et cristallise, ià une la!aute température, espèces de barbes de plumes qui s'élèvent au-dessus de la masse métallique. Le culot métallique ayaiti-été cassé, a offert dans ,Sôn- 'intérieur des ribinwictimpactes et formés de grains serrés et dans d'a...titres des aiguilles -entrelacées de tous les sens et laissant des espt,ces vides entre elles, ce qui m'a empêché de pouvdie en déterrniner le poids spécifique. Un fragrnent de ce 'Mati , ekpoSé à la chaleur du chalumcau , se terrpt lêgerement â 'sa surface et -si l'on continue cetiè 'Opération , if -se. recouvre d'une croûte légèrement verte ; mais il ne donne .
aucun signe de fusion.
Chauffé ad. même arppa'reit 'avec bOfax , il ne se fond pas davantage ; l diminnemn peu de volume , et ccinmuniqUe à ,ce Sel une çouleut verte d'enieraude. Réduit en poudre fine, je.,ts-,traité avec ,de J'acide nitrique concentré bouillant s'oxide avec beau-
coup de difficulté , et donne à l'acide line couleur verte tirant légèrement sur le ,bieu. L'acide nitrique attaque si difficilement ce métal, que ce
n'a été qu'après un très-grand nombre de rraitemens répétés avec d'assez grandes quantités de cet acide, que j'ai pu parvenir à en dissoudre six grains. Les différentes dissolutions -réunies ont été évaporées às.i Qciké cg, la, lin de l'opéra fi o n , sida
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