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ces observations est de faire connaître les principes d'après lesquels on doit les diriger; car on commet souvent de grandes fautes en suivant, sans examen, la routine des mineurs : faisons tous
nos efforts pour les faire travailler avec plus de méthode et de précision et cependant d'une manière mécanique, ne pouvant exiger d'eux des
à pendage de pla, qui marquent les veines en I pour les roisses, ou celles ture , et autant de lien
qui tiennent plus de la verticale que de l'horizontale ( t ). Le diaphragme n'est vu ici que dans son épaisseur; sa longueur occupe toute celle de l'intérieur de la boîte (fig. 4) , et il est suspendu à char-
nière en dessous de la tablette A B (fg. 2), Si maintenant A G (fig. j), étant supposé d'un mètre,
principes de théorie. J'ai imaginé un instrument qui, à ce que je crois,
peut remplir son objet. On peut le construire en bois dur et sec, ou en fer-blanc ; mais il vaudra mieux en cuivre : sa longueur sera de deux décimètres, sa largeur d'un décimètre. Le dessin n'a .qu'un décimètre de longueur et la moitié de largeur : je vais en donner une explication abrégée, qu'on concevra encore mieux quand on lira la manière de s'en servir. 'Explication Le parallélogramme AB CD (fig. 2) fait la des différent parties de partie supérieure de l'instrument ; c'est pourquoi firotiurnent je la nommerai tablette elle est divisée en deux polir conna, tre l'inclinai- carrés égaux par la ligne EF. A chaque côté de ces son des couches de houille la pente ferme les bouts de l'instrument, lesquels doivent s'y et la longueur des vallées ou adapter à angles droits de la tablette. Là figure 3
carrés en est un autre de la même grandeur, qui
galeries
nées,
-représente aussi l'un de ces bouts, et en même temps la coupe transversale de l'instrument avec les mêmes
divisions en rayons, et de plus son fond en L, qui est parallèle à la tablette; et enfin, la planche A M mobile en A. Cette planche, que l'on peut appeler diaphragme, s'élève ou s'abaisse à volonté, depuis 0 jusqu'en /V, et elle marque toutes les inclinaisons des couches de houille, depuis l'horizontale A G
jusqu'à la verticale AI, et cela de décimètre en décimètre, puisqu'il y a dix divisions égalés de G
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DES COUCHES DE HOUILLE.
SUR L'INCLINAISON
désigne la superficie de la terre dans une position perpendiculaire à la direction d'une veine de
houille qui paraît en A, et que HI soit dans le même plan vertical, à un mètre plus bas, il sera facile de comprendre que si l'inclinaison d'Une
veine était trouvée être de dix décimètres par mètre d'horizontale , on comprendra, dis-je, que cette pente serait de 5 o grades, et qu'elle est exprimée par la diagonale AH (figure 3). De même si, avec leurs règles, les mineurs trouvent que la pente soit de cinq décimètres, la vraie pente sera G5. Il en ,
est de même pour toutes les inclinaisons, qu'on peut prendre aussi par centimètres et millimètres.
La figure 4 est le devant de l'instrument; AB, sa tablette dans son épaisseur et longueur ; L, le fond ou base ; MF, les bouts de la boîte vus de profil, et divisés en dix décimètres, qu'on divisera chacun en dix autres parties pour exprimer les centimètres. Après avoir fait connaître les parties principales
de l'instrument , je vais expliquer l'usage qu'on en peut faire relativement aux travaux des mines de houille. Pour faire comprendre l'usage de l'instrument, (i ) Les veines roisses sont simplement ponctuées pour leî distinguer des autres.
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Usage de