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AB. SENIATES DE CUIVRE, 44 modification de rer ce cristal comme étant une l'octaèdre ; celui auquel il donnerait idéalement inclinaissance par l'accroissement de ses plans substance nés, ne pouvant alors être peur cette aucun des morceaux qu'un cristal secondaire, mis dans le que j'en ai vu , ne m'a même jamais cas de pouvoir en présumer l'existence. un très-beau La couleur de cette mine estprésente trèselle vert foncé d'émeraude, et plus L'éclat faibles. rarement quelques nuances qui frappent de ses faces larges, qui sontles seules l'aspect exfortement la vue, lui donne assez colorées, contérieur de ces feuilles de métal nues sous le nom de paillettes. la préCette mine est encore moins pesante que25,488. cédente : sa pesanteur spécifique est de très-faciElle est aussi moins dure : elle raye aucunement
lement le gypse, mais ne peut entamer le spath calcaire. ils sont Lorsque ses cristaux sont très-minces, est très- transparens , mais cette transparence
plus louche lorsqu'ils ont quelqu'épaisseur. feu. Elle décrépite très-fortement au gangue est Cette arsemate de cuivre, dont la habituellement quartzeuse , est quelquelois acet sur-tout de compagné des autres espèces, capillaire; mais la celle en octaèdre aigu à l'état plus souvent mine de cuivre qui se montre lequi y est même avec lui, est celle de cuivre rouge souvent en très-grande abondance. jamais vu aucun indice de dé -
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composition.
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Arseniate de cuivre en octaèdre aigu. C'est aussi un octaèdre qui est la forme la plus simple sous laquelle se présente cette espèce; mais cet octaèdre, au-lieu d'être obtus ainsi que celui de la première espèce, est légèrement aigu. Il a-de même, dans chacune de ses pyramides, deux faces opposées plus incli-
nées que les deux autres. Celles les plus inclin.ées se rencontrent au sommet sous un angle de 84., et à la base sous un de 96°; et les deux autres se rencontrent au sommet sous un angle de 68., et à la base sous un de 112. (fig. 4). Cet octaèdre se montre quelquef bis, ayant les plans qui composent ses pyramides concourant au même point pour en former le sommet ; mais il est beaucoup plus ordinaire de le trouver allongé parallèlement à ses faces pyramidales les moins inclinées . 5), et le plus souvent même au point de se présenter sous l'aspect d'un -prisme long tétraèdre rhomboïdal de 84. et 96., terminé par un sommet dièdre à plans triangulaires isocèles, placés sur les bords de 84. , qui se rencontrent entre eux sous un bord de 112. (fig. 6 ). Le plus soit dans la variété en octaèdrehabituellement' complet, soit dans celle en octaèdre' allongé, les bords de 96° sont remplacés Chacun par un plan également incliné sur les faces adjacentes Ulg. 7), et qui très-fréquemment a une très-grande largeur : alors le .prisme tétraèdre de 649 et 960 çst chgngé en un priene hexaèdre -