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EXPÉRIENCES FAITES 274 Cravvdes corps mélangés. Et les expériences de du fort présentent ce résultat, que les capacités
fer et de l'eau pour le calorique, sont entre
elles dans le rapport de 127 à i000 , de sorteà que dénos expériences conduisent directement terminer x. Nous observons, au reste, que dans le cours de ces expériences , nous n'avons pas eu pour néobjet d'atteindre à cette précision qui est vérifier recherches destinées à cessaire dans des ou à établir quelques points importons de théoagi comme des rie. Nous avons constamment visent point à une exacmanufacturiers qui ne
titude plus rigoureuse que ne le comportent leurs travaux.
Par nos expériences , nous avons voulu nous d'une manière mettre dans le cas de comparer, le rapport des temsuffisamment approchéefourneaux a différentes pératures de quelques atteint époques du travail. Nous pensons avoir la faculté de ce but, puisqu'elles nous donnent établissement , les reconnaître sur tout autre différences que présentent à cet égard les opérations analogues.
On sent que la masse qui a été placée dans le fourneau, devait être d'une matière facilecontient au-dessus de la température du plus froid, et Q, celle partagé son calorique avec ce der-
qui lui reste lorsqu'il a nier, et qu'il est arrivé à la température du mélange ; on employés a (à cause que les degrés de température des corps calorique proportionnels aux quantités de sont supposés qu'ils reçoivent) la proportion Q B .: Q q*.x, ou
(mc+mcN xB = C
A, LA FONDERIE DE POIILLAOITEN.
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nient Conductrice du calorique. Les métaux présentent éminemment cette condition, et celui que nous avons employé, le fer, quoique assez facilement destructible par l'action de l'air, a une haute température, et par les va-
peurs de soufre , de plomb, onde zinc , qui se dégagent dans la plupart des opérations, a du moins J'avantage d'être celui des métaux communs, qui peut recevoir, sans se fondre, le plus haut degré de chaleur, et d'ailleurs, il est le plus exempt des alliages qu'offrent presque toujours les au-
tres métaux dans le commerce ; circonstances
qui facilitent les moyens de comparer entre elles les expérience faites en différens lieux dans le même but (1).
La forme de rondelle donnée à la masse,
fournit le moyen de la pouvoir suspendre facilement dans le fourneau , et de la porter avec aisance à la place qu'elle doit occuper (2). Mais il était une circonstance plus essentielle au succès des expériences. C'était que la quantité d'eau employée, et la masse de la rondelle, fussent dans un rapport tel, qu'en supposant celle-ci à la plus haute des températures que
nous avions dessein d'apprécier, elle ne pût porter l'eau au degré de l'ébullition. (i) L'emploi du platine offrirait encore de plus grands avantages. IL pourrait peut-être fOurnir le moyen d'appliquer la méthode pour estimer la température des hauts fourneaux, et celle des fourneaux à manche. La seule difficulté serait de le préserver de tout contact avec les métaux soumis au traitement. (2) La rondelle employée avait environ 18 millimètres ( 8 lignes ) d'épaisseur elle était percée d'un trou de 4 centimètres ( un pouce et demi ) de diamètre.