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PROPRIll'a D'UN PLATRE-CIMENT.
PROPRIUrdS D'UN PLATRE-CIMENT.
Le Cit. Anselin a fait sceller avec le plâtreciment un morceau de fer quadrangulaire,
d'un volume de 0,00002 mèt. cubes à-peu-près, dans une pierre de Wimiile! le trou d'encastrement était un prisme de o,00006 mèt. cubes ; ainsi la quantité de plâtre-ciment employée au scellement, était de o,00004 mèt. cubes à-peuprès. Le système a été suspendu, la pierre a été chargée de 16o kilogrammes , le fer encastré n'a fait aucun mouvement , et Je plâ-t(re-ciment est resté comme il était auparavant , partout adhéreht- à la pierre. Les expériences que nous venons de rapporter sont de simples, essais : la Commission se propose-d'étendre et de compléter ses recher-
de Les pierres de Ningle , de Honvault et Wimille , ont été soumises à la même épreuve,
et ne se,sont séparées qu'après avoir été brisées adhéen partie, et en laissant de leurs .fragmens r en s au _plâtre. Les pierres de Honvault , qui avaient séjourné dans l'eau:, se sont -séparées après quarantequatre Coups., le cas Nous avons remarqué avec étonnement deWimille, vraiment extraordinaire des pierres
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qui sont des plus dures de' ce pays. La pierre qui s'est détachée a laissé une croûte pierreuse, d'une épaisseur sensible , sur toute l'étendue de la surface du plâtre interposé : il est donc
- rigoureusement vrai que la pierre a cédé, .et
non pas le plâtre-ciment : les pierres de l'expérience avaient séjourné dans l'eau. Si on veut avoir une notion de la force absolue du plâtre-ciment séché à l'air libre ; nous dirons qu'une masse prismatique de cette matière, ayant o,mo45 de largeur, et o,mo d'épaisseur , s'est rompue sous une charge15de 14 kilogrammes , suspendue à 0,11%5 du point d'appui.
Les deux pierres de Landrethiin qui n'avaient sur point séjourné dans l'eau, ont été assujéties le joint de menuisier, de sorte que un établi était en dehors du bord de la table. On aa enon fait ' touré d'une corde la pierre saillante, appuyé passer entre la pierre et la corde, etlongueur. levier de 1,m16 de sous l'établi, un poids de 6z On a suspendu à sen extrémité unrestées unies, kilogrammes ; les deux pierres sont la moinle plâtre-ciment interposé n'avait pasleur poids dre gerçureS Deux hommes ont ajouté pierres est deau premier : le système des deux plus meuré en repos. Ne pouvant pas pousseressayé loin l'épreuve de-la pression, nous avonsla force mû par toute la p,ercussion d'un maillet vingt-deuxième coup , les d'un homme ? Au le plâtre-ciment est pierres se sont 'séparées ; n'en est la pierre fixe; il resté appliqué contre parcelle, et nous pas tombé à terre la moindre des fragmens de la pierre, déavons observé que tachée adhéraient au plâtre. avaient séLes pierres de Landrethun qui après vingtsont séparées journé clans l'eau, se circonstances. un coups , et avec les mêmes
,
ches. Ce que nous avons dit suffit pour faire connaître les principales
propriétés du plâtre-ciment, qui d'ailleurs a subi , saris aucune altération, l'épreuve du froid de 60 au-dessous du