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fîiiit DIFFÉRENTES
ESFÉCES DE FERS
point échappé à l'oeil attentif des aspect, n'ont Mémoire. On a vu par le résultat des auteurs du M. Howard, que le fer méanales faites par des pierres dans chacune tallique renfermé été décrites d'après Bourtombées, qui ont allié au nickel ; ce fait non , est constamment l'observation qui avoit a rappelé avec intérêt par M. Proust, que le fer natif déjà été faite par contient de même de l'Amérique était bien propre à du nickel. Ce même fait connaître .si le fer natif faire naître le désir de Pallas, près des monts par de Sibérie, trouvé celui de Bohême, contenait Kémirs , ainsi que ce que M. Howard de même du nickel ; c'est possède plune tarda pas à vérifier. M. Gréville de sieurs morceaux parfaitement'caractérisés l'un du poids de plufer natif de Sibérie , dont envoyé par M. Pallas luisieurs livres, lui a été distingué en a sacrifié quelmême. Cet amateur l'analyse, les autres ont servi ques-uns pour ' d'une manière Bournon pour les décrire qu'on ne l'a fait juscomplète beaucoup plusespèce de fer offre des particuqu'ici. Cette dont ne parlent point la larités remarquables,qui l'ont plutôt citée que plupart des auteurs ces omissions. Sa 'décrite. Bournon a réparé double intérêt, placée description présente unpierres dont nous avons à la suite de celles des partie de ce rapport. parlé dans la première de fer de Sibérie qui se Parmi les morceaux de M. Gré.ville, on trouvent dans la collection remarquadistingue sur-tout deux morceaux offre une texture bles : » L'un de ces morceaux quelque analo» cellulaire et ramifiée, ayant scories volca» gie avec celle de certaines -
REGARDÉS COMME NATIFS.
83 » niques très-poreuses et légères la tex» ture ordinaire des morceaux de; c'est ce fer natif » qui existe dans les différens Cabinets de l'Europe. En l'examinant avec attention , on observe qu'en outre des parties cellulaires vi» des, les parties de fer elles-mêmes 73 par des enfoncemens plus ou moins portent profonds, » et souvent parfaitement arrondis, l'empreinte » de corps durs qui y étaient » se dégageant, ont laissé les placés, et qui en » fbncemens lisses, et ayant parois de ces en» lustre du métal poli. Il restefréquemment le ça et là, dans » quelques-uns de ces enfoncemens , de petites » parties d'une substance d'un vert jaunâtre » transparente, à laquelle et on reconnaît faci» lement que ces enfoncemens » poli n'étant que l'effet de la sont dûs, leur » du contact immédiat du fer compression et sur elles. » Ce "fer est très-malléable, on le coupe fa» cilement avec un couteau, et le » plati et l'étend avec beaucoup marteau l'apD) pesanteur spécifique est 6487, d'aisance; sa » à celle du simple fer fondu et très-inférieure forgé... . » Sa cassure présente le lustre non brillant et le » blanc argentin de la fonte » grain est beaucoup plus uniblanche ; mais le et plus fin il » est aussi beaucoup plus malléable à froid. » Le second mo-rceau offre un » diffère à quelques égards de celuiaspect qui » ceau précédent. La partie principaledu mor» considérable, forme une masse solide la plus et com-' » pacte clans laquelle on n'aperçoit absolument » aucuns pores ou vides , mais il s'élève sur sa » surface des parties branchues et cellulaires, ',
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