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370 rig. a.
mivroIn.r
Tirez sur un plan une droite indéfinie`H élevez sur cette ligne la perpendiculaire s E, égale à la levée que l'on veut donner au pilon c'est-à-dire, à la ligne que doit parcourir l'extrémité inférieure du mentonnet pendant l'élévation de son pilon. Prenez le tiers de s E (i),
portez-le sur s F, à partir du point s, autant de fois que l'arbre doit avoir de carnes ; 30 fois pour un bocard à 3o cames, et 27 t'Ois pour un bocard à 27 cames. Divisez ensuite en quarante-
quatre portions égales, la longueur s G que
-vous aurez obtenue par ce moyen. Du point.o , distant de s de sept des divisions de la ligne sG
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uer ci-dessus, vous aurez trouvé la courbure qu'il convient de donner à la surface supérieure de la came, du point o comme centre vous décrirez deux circonférences x z et Pco, dont la première ait pour rayon la moitié de l'épaisseur de l'arbre , et dont le .diamètre de la seconde soit de 67 à 81 millimètres (deux pouces et de. Mi à trois pouces ) , ou de 27 à 35 millimètres ( un pouce à un pouce et demi ), selon que la came doit être de fonte ou de fer. Vous menerez ensuite deux droites Si et p t, parallèles et
tangentes au petit cercle , et prenant, à partir des points Ii et L, deux lignes hm, Ln égales
et d'un rayon égal à o s, décrivez la circonférence s A Q, et sur une portion s K B de cette' circonférence , enfoncez jusqu'à la moitié de leur profondeur de forts clous , distans les uns des autres de 5 à 8 millimètres ( deux à trois
chacune k 135 -millimètres ( six pouces ) , longueur de la partie du tenon qui est mortaisé dans l'arbre, vous menerez in n; enfin, par le point p vous tracerez à la main une ligne courbe p y
lignes ).
tems et le profil de la came SlEyp, et celui de son tenon S m n p. On peut arrondir un peu l'arête vive qui se trouve en E. 12. Plus le pilon est éloigné du point de con-
Cela posé recouvrez l'art s K S d'une ficelle très-déliée, et, après avoit.fixé l'une de ses extrémités en s, et avoir armé l'autre d'un crayon, développez votre fil. de manière qu'il soit toujours tangent à la circonférence , et jusqu'à ce
parallèle à SI E. Par-là vous aurez en même-
tact de la came et du mentonnet, et plus
les
qu'il soit parvenu dans la situation s E. La
fi-ottemens contre les prisons sont considérables.
courbe à SE que le crayon aura décrite pendant ce mouvement, sera celle cherchée (2). Quand, par le procédé que-l'on vient d'indi-
que l'on peut ; mais, comme il faut que la came puisse se mouvoir sans que son extrémité soit arrêtée par le pilon. , la distance D o du pilon, an centre de l'arbre, doit toujours surpasser de quelques millimètres (un demi-pouce environ) ,
(i) Il faudrait prendre le quart , si l'on devait élever quatre pilons à-la-fois. (2) Nous avons employé plusieurs fois, et avec succès, ce moyen mécanique de tracer la courbure de, cames 5 il a toute la précision qu'on peut desirer dans la pratique, surtout quand on se sert d'un fil peu extensible, et qu'on silsd
sun LES MACHINES A FILONS.
Il convient donc de l'en rapprocher le plus
tittie , aux clous dont il vient d'être parlé, une planche mince , dont l'un des côtés a été taillé en arc de cercle d'un diamètre convenable. A. B.
Distance
des Olons an cenlre
l'arbre.
Fig. 2.