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SUR LE CUIVRE ARSENIATÉ.
complet. Les cristaux, les moins rares , après ceak qUi appartiennent aux variétés,. que j'ai
représentées sous les Ji. 15 , 16 et 17 (i), et
clui ordinairement sont groupés - de manière à
se pénétrer l'un l'autre, et à devenir par-là2 fo' rt difficiles à reconnaître, sont le rhomboïde très-aigu eomplet et ses 'Variétés incomplètes, tel que le représentent' les fig. 22 , 23 et 24 de mori,Mémoire. J'ai même balancé un mement
le clivage ne m'ayant rien montré qui ait pu. me diriger, si je ne prendrais pas ce rhomb,oïde pour la forme primitive. Dans ce cas, la seule manière qui.méparaîtrait naturelle et simple , de rapporter ce cristal à l'octaèdre obtus de la troisième espèce , serait de supposer cet octaèdre devenu rhomboïdal ...par un aceréiissement .qUi'atirait eu lieu, par la suPerpesition de lames Ou collection dé rangées
de molécules en retraité, sur une seule des
faces de chaque pyramide, et prise -d'âne maniéré cippOsée pour :chacune d'elles, ainsi que cel'£ 'arrive dans' le spinelle et nombre de subsiances ayant un octaèdre droit pour cristal
primitif, et que je l'ai vu de même dans le
diamant; Mais dans ce cas , ou l'accroissement se serait faitsur les faces les. plus inclinées, et alors. le "calcul fait voir que les plans du
rhomboïde auraient 57°. 39' et 122' 21 pour mesuré & _ses angles.plansi: ou ce même ac-
croissement se serait fait sur les faces les moins inclinées, et alors les mesures des angles plans dix rhomboïde seraient de 470 4! et 132°,56'.
,
(t) Voyez la planche XL1.1 , no. 61.
SUR LE CUIVRE ARSENIATF,..
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, quoique le rhomboïde qui existe dans cette quatrième, espèce, échappe par sa petitesse à la mesure, de l'instrument, je puis cependant prononcer d?une manière affirmative, qu'il est beaucoup plus aigu que ne le serait aucun des deux que la.supposition vient de faire naître.
Il est très- vrai que depuis l'impression de mon Mémoire sur le cuivre arseniaté , j'ai cru devoir séparerdes espèces qui y sont décrites, et en faire une cinquième de l'une des substances qui y étaient renfermées ; substance qui par ses .caractères extérieurs diffère des autres , et semblerait induire totalement naturellement -à penserque l'eau doit entrer pour beaucoup au nombre de ses parties composantes. Mais vous me paraissez être dans l'erreur sur celle de-ces substances que je pense en effet d'une nature différente de celle être des autres. J'avais, cru alors de mon premier travail sur le cuivre' arseniaté , devoir faire plusieurs subdivisions ou variétés dans la quatrième pèce. De ces variétés, les trois premièresescelle capillaire déterminée, celle indéterminée , et celle qui , solidecapillaire à une de ses extrémités, se divise en fibres très-déliées à l'autre. vous semble que je -comprends ces riétésedans la nouvelle espèce que je suis vaà considérer comme un hydroarseniate.: porté cette opinion serait 'en effet, ainsi que vous l'observez très-bien, tout-à-fait contradictoire avec ce que j'ai dit de ces variétés, dans la description que j'en ai donnée, et je conçois 'qu'elle adii vous étonner ' L'espèce de cuivre arseniaté seule, àilaquelle cette opinion a, trait, est celle qui renferme les deux variétés -aux B2