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EXPLOITATION DES
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quelquefois ; masse dans son entier : cela arrive plus souvent elle le je l'ai vu moi-même ; mais chasse les coins, et se brise pendant que l'on le moins de mealors on fait, en sorte d'avoir nus débris qu'il est possible. la poudre penOn faitïquelquefois usagé de le' juge convenaelanty,c`elnavail. Lorsqu'on houille des trous de pratique clans la bles les charge et on les 2 pieds de, profbridèur ; on poudre, unitire ave.odwie .on deux onces de l'on veut ébranler la masse que quementrpour abattre; Après que l'on a déblayé la houilleleexploipilier, té.e.,,,et eei.',On s'est ainsi avancé, dans continue de 4:pieds (.Sur 3 toises de large), on au-desd'aller en ayant : on pratique également droite et à gauche de la partie qui sous ainsi qn'à la même manière, est devant, desentailles; de précédemment , puis fornie.et"dirnensions,' ;que Lorsqu'en tomber et. on la déblaye. eau la._fait
atteint allant,toujoursede cette manière, on a revient ,horizontale supérieure, on la galerie 4'.on_ attaque les 3 toises de houille qu'on vient Iqutsent la droite de la partie
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l'on krienlever. Mais actuellement la masse que deux faces à découvert,
- eet.,,détaeler, , ayant
AnGn'o.n die plus découvrir que deux autres (dessous ét à droite) ayant d'enfoncer les coins. le petit piDe cette manière, on, exploite tout qui est au-
lier ; ensuite l'on attaque celui des.sons,, puis le suivant ; après cela on en vient à celui qui est à la droite du premier
exploité, ainsi successivement. souA mesure que les mineurs avancent, ilspartie
tiennent derrière eux par des étais, la
WALDENBURG EN SI3dSIE.
de houille que l'on a laissée en haut pour 99 vir de toit. Mais lorsque l'exploitation sers'est Propagée à une certaine distance vers la droite, on retourne vers le commencement , enlève les étais, et le toit s'éboule : on en retire la partie de houille qui, lui était restée adhérente, conformément à la maxime de ne rien laisser derrière soi. Dans l'exploitation je viens de décrire, j'ai pris le cas le -plus que avantageux qui pût se présenter : j'ai supposé que la couche était d'une houille solide , et formant une masse Continue; mais souvent la couche est divisée en différens 2 ou 3) bancs par des couches minces , d'une terre imprégnée de bitume alors on exploite d'abord le supérieur, et ensuite les autres; c'est-à-dire, qu'après avoir pris,
comme à l'ordinaire, une largeur de 3 toises pour celle de la masse que l'on veut attaquer, et l'avoir séparée, dans tonte l'épaisseur de la couche , du reste du pilier, par des entailles latérales , au lieu de faire l'entaille de dessous, dans- la houille, immédiatement audessus du mur , on la fait dans couche même de terre qui sépare le banc lasupérieur de celui qui est au-dessous, et l'on ensuite tomber la partie du premier bancfaitcomprise entre les trois entailles ; puis , et de la même manière, celle du second et du troisième s'il
y en a. On attaque un plus ou moins grand de piliers à la fois, selon que l'on a nombre d'une plus grande quantité de houille. besoin Les mineurs qui travaillent au même endroit, forment une compagnie de quatre, cinq ou six. G2