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SUR LA SCINTI11.1.ATION, etc.
gers ; que ceux que la prudence , le zèle et l'activité constante des commissaires des pou-
dres parviennent à écarter, ne sont pas les seuls qui les environnent à toute heure, eux et les précieux ouvriers qui se dévouent à ce travail, mais qu'il en est, probablement aussi, d'autres encore qui se jouent de toute la pru-
dence humaine, dans l'état actuel de nos moyens.
SUR LA FABRICATION Du Fer et de l'Acier dans les .,Forges de la Styrie. Par le Cit. RA xu-n ounG, maitre des forges de Tronçais, corresponda-nt de la Société Philomatb igue de Paris, et membre de la Société d'Encouragement pour l'industri,s nationale. Nota. On a fait usage dans ce Mémoire du poids efaeTargent de Vienne. Le florin de Vienne vaut 52 sols 6 deniers environ de France ; il est divisé en soixante kreutczers. .Le poids de Vienne est plus fort que celui de France, dans le rapport de 11,656 to,188 , c'est-à-dire, que rop.83 liv. de Vienne, font à-peu-près 11,656 liv. de France. .
i?. Gisentent des minerais de fer. /À 'Styrie est -Cà nnue depuis très-long-temps pour le 'fer et l'acier 'qu'elle produit ; ses mines de fer ont été expliiitées dès la plus haute antiquité : ce métal s'y rencontre sous la forme d-ui fer spathique cristallisé en lames rhomboïdales:
Cette mine est blanche et demi-transparente Clans l'intérieur des grandes masses et dans toutes les parties qui n'ont pas 'été exposées à l'ac-
tion de l'air et dé l'eau ; mais elle change de couleur, de forme, et même de nature, lorsqu'elle est soumise pendant long-tems au contact de ces deux agens ; elle devient jaunâtre, ronge, enfin brune ; elle perd la forne.de ses