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SUITE DU MÉMOIRE Suit la fabrication du Fer et dà' l' Acier dan§ les Forges de là Styrie. Par le Cit. RAMBOUBG, maitie des forges de Tronçais , COrrespondant de la Société Philomathique de Paris, et Inernbre de la Société d'Encoaiénièrit pour l'induïtiie nationale.
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, etc. 38i préalablement : calcinée par ,,un procédé que j'indiquerai. plus :bas on ;saisit' lé trousseau avec une forte pinCe.;-en le porte au fourneau oii il doit. ,être fondu. Le fourneau a quelque ressemblance avec les foyers d'affinerie , il en diffère principalement par la position et la direction de la tuyère des soufflets. Le creuset. la forme d'une pyramide 1-en-, versée, c'est-à-dire, que ses,:dimensions sont moins fortes daiis la partie-inférieure. Il est creusé dans la maçonnerie de la forge, quelquefois il est revêtu intérieurement de plaques SUR LA M'ABRI c.A.T.1 o
9.0 300
1Vota. On a fait usage dans ce Mémoire du poids et de l'argent de Vienne. Le florin de Vienne vaut 52 sols 6 deniers environ de France; il est divisé en soixante kreurczers. Le poids de Vienne est plus fort que celui de France , dans le rapport de 11,656 ro,r88 , c'est-à-dire, que ro,188 liv. de Vienne , font à-peu-près ii,656 liv. de France.
3e. Fabrication de l'acier brut.
LA fonte coulée à Eisenhartz est envoyée dans les forges de la compagnie pour y être convertie en fer où en acier. Elle est fondue
dans une forge d'affinerie, transportée ensuite sous le martinet peur être étirée en barreaux d'acier brut ; on élabore cet acier, et on lui fait subir des corroyages qui le portent à l'état d'acier raffiné. Ces forges sont situées à St.-Galleu, Fe,yer; Klein , Reisteiu , Holenstein Reicheranein et Filttehalm. Pour fabriquer l'acier brut, on fait un trous-seau de cinq à six morceaux de fonte, pesant ensemble 125 livres environ : cette fonte a été
de fer, et toujours il est séparé d'un cendrier par une plaque percée de trois trous
situés dans la même ligne verticale. Ces trous ont 8 à ,p3 ,lignes de diamètre , ils sont à trois pouces l'un de l'autre, et le premier à 3 pouces au-dessous de la surface supérieure du creuset. Ces trous sont destinés à retirer les scories ; le premier à retirer celles qui surnagent la loupe d'acier lorsqu'elle est en fusion dans le creuset ;
les deux autres, et sur-tout l'inférieur à retirer les scories qui restent dans le creuset, lorsque la loupe en a été enlevée pour être portée au. 'martinet.,
La buse des soufflets est reçue dans une
forte tuyère' 7de cuivre assise dans la maçonnerie du fourneau cette tuyère entre de six pouces dans.' lecreuset ; elle. a là forme d'un
d'un cône coupé en deux par tin plan .qui passerait par l'axe. Ce
cist-à
dire,demi-cône,
plan..est plaCé à la surface supérieure du cretf;;; il est :incliné vers le fond de manière à form.er,, avec la lign.eherizontale , un angle de
- 19;4egr,és.40..à 5,oaninutes. L'axe ne passe pas
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