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$171, LA rABRicATiox .- d'Admont , etc. On y suit des procé-dés diderens ; l'ouvrier place l'un sur l'autre denber' deux morceaux de fonte pesant de 120 à 14o. Il les saisit avec une forte pince, et les met au feu d'une forge d'affinerie semblable à celle que j'ai décrite. La fonte reste deux heures au feu avant d'être fondue ; lorsqu'elle est à cet état, on arrête les soufflets et on laisse la loupe en repos pendant 5 à 6 minutes ; on la porte ensuite sous le martinet, on la coupe en quatre saumons : l'ouvrier voit dès-lors si la loupe lui fournira du fer ou de l'acier : la loupe d'acier
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se déchire sous le marteau et se remplit de
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gerçures profondes ; mais ces indices sont plus .sensibles et plus sûrs sur chacun des saumons
lorsque chauffés rouge-blanc ils sont portés sous le martinet. L'ouvrier arrête un instant
le marteau peur observer les saumons ; s'ils lui présentent les caractères de l'acier, il les étire
en barreaux de 18 lignes sur quinze lignes
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d'équarrissage , et il les jette rouges dans l'eau
- froide : s'ils ne lui présentent pas ces indices
il les étire en barres qu'il laisse refroidir à
- Pair. On n'obtient, dans ces forges , qu'une
petite quantité d'acier , un peu plus de mock. ; le reste est un fer aigre qui contient encore beaucoup de carbone, et que l'on peut amé-
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liorer par des opérations subséquentes. Il y a des forges où l'on prépare, d'une ma-
nière particulière, les loupes qui sont reconnues n'être pas propres à donner de l'acier ; on les porte dans une forge d'affinerie seinblable à celle que j'ai décrite pour la fabrication du fer ; on les élabore comme la fonte que
l'on veut convertir en fer forgé ; la tuyère est ave;ne-.Rous.teene.
,iournai der lejzed.
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