Journal des Mines (1803-04, volume 16) [Image 19]

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CONSIDilRATIONS etc.' une grande catastre,.:' ce me semble, qu'après bouleversé toute la terre, il plie qui doit avoir sey ait eu une régénération de la nature , une laquelle plusieurs corps orconde création ,par ganisés ont pu exister de nouveau avec la même forme et la même manière d'être que leurs de-

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la catastrophe vanciers 2avaient eues avant d'être parce que cette forme et cette manièrenouvel se trouvaient convenir aussi bien au mêmeétat des choses qu'a l'ancien ; mais enorganisés teins le plus grand nombre des êtresn'avoir été détruits par la catastrophe, semble

rendu à la terre par la seconde création, qu'avec des modifications et souvent des changem.ens absolus d'espèce, de forme et de manière d'être; êtres détruits, enfin la plupart des anciens semblent avoir été remplacés par de nouveaux 'êtres créés pour une nouvelle terre, pour une mer nouvelle, et peut-être pour une atmosphère totalement renouvelée. Ne serait-il pas possible, à force de rechercomches géologiques, de mettre en harmonie traditions des fossiles et les plète le témoignage anciennes , qui dans plusieurs religions, d'ailleurs très- différentes les unes des autres, conservent le souvenir d'une grande catastrophe à laquelle, toute la terre doit avoir été livrée ?

EXPÉRIÈNCES FiITES sur les Trompes de la Fonderie de Poullaouen. Par les Cit. BEAUNIE11. et G-,.r.r.ors , ingénieurs des mines.

Nous avons eu pour objet de connaître les diffé-

rences de densité de l'air intérieur des trompes, dans diverses circonstances qui peuvent la faire varier. Et nous avons cherché la disposition la

Objet des expériences.

plus avantageuse à donner à la machine avec la moindre consommation possible d'eau.

Une des principales causes qui ont fait élever des doutes sur l'avantage qu'il y a à conserver ou à supprimer certaines dispositions dans la construction des trompes, est que l'on a comparé entre elles des expériences faites sur des machines que l'on a négligé de décrire. Nous rappellerons donc brièvement ( avant d'entrer en matière) les distinctions principales que l'on peut établir dans les trompes par la manière dont l'effet y est produit. M. Lcevvis remarque qu'il y a deux méthodes générales de faire charier l'air par l'eau dans les trompes. Dans la première , l'eau reçoit l'air par le sommet d.e la machine, dans la seconde, elle le reçoit Par des ouvertures latérales. Et il pose en principe que les circonstances qui contribuent à l'effet dans un cas, lui sont nuisibles dans l'autre. .

Il a en outre observé que l'eau étant en

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Considérations générales sur les trompes.