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SUR LE5 SALINE9 au-dessus da réservoir naturel de la source salée de Bex (lequel est très - probablement on. une couche repliée, dont le pan sur lequel a amené l'eau, est incliné d'environ 450.) au 64
bout de six jours , la source principale qui sort 431 pieds plus bas , a augmenté de vo-
Quelques
lume .,.: et son degré de saturation a diminué. Ce n'est pas toujours d'une manière immé-
nrie: diate que les sources tirent leur origine des
que média- eaux météoriques; ainsi, par exemple , la neige terne-nt aux qui tombe abondamment sur les hautes monceemétéo. tiques.
tagnes , va grossir la masse des glaciers, ceuxci, par leur fonte , donnent naissance à des lacs et à des torrens élevés , dont lés eaux s'infil-
trant ensuite dans la terre
L'eau est
distribuée uniformé-
ment, et
vont sourciller
plus bas. L'eau est distribuée plus ou moins abonclamment , mais avec assez d'uniformité, le long des assises ou des couches qui en sont imbi-
riP" ets , dans bées
,
et non en filets, comme on le croit
S'il -y a quelques exceptions, on ne les observe que dans des couches calcaires , ou autres destructibles dans lesquelles il se forme des canaux naturels d'un diamètre très-variable. La recherche des sources se réduit donc à tr ettees qui celle de la couche aquifère; lorsqu'On a percé irsultent re" cette couche par une galerie, on y reçoi noncherche et vertical'exploita- seulement les eaux qui correspondent mais encore une parli" d" lement à son ouverture ,
les couettes. communément.
sources.
tie des eaux latérales ; celles-ci devant se porter du côté où elles éprouvent le moins de résis-
tance, viendront obliquement de points d'autant plus éloignés, qu'elles trouveront plus de difficulté à se frayer un passage dans la couche;
ET LE/YR EXPLO /TA TIOld:
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il y aura à une certaine distance équilibre entre les deux résistances, et au-delà de cette limite les eaux continueront à se mouvoir 'dans la couche, ou en général à..suivre le même chemin qu'auparavant. Concluons de là: 10. Que si l'on entame :une.couclie aquifère dans le voisinage d'une source , celle-ci diminuera , mais d'autant moins, et au bout d'un; teins d'autant plus long, qu'elle sera plus éloignée, et àune certaine distance elle n'éprouvera, aucun changement, quand bien même le per.; cernent se serait fait au-dessous de son niveau ;
l'expérience démontre de même, que si l'on perce plusieurs puits assez près Plie de l'autre sur une couche aquifère basse et peu inclinée, au bout d'un certain tems l'eau se mettra de niveau dans tous, si l'on épuise l'un , l'eau baissera clans les autres, etc. ; lorsque les puits 'sont
à une certaine distance, la communication n'a plus.
20. Que si l'on mène jusq-dà la rencontre
d'une couche.des galeries de traverse à' des distances convenables ,.ïon, 'pourra obtenir toute
l'eau qui coule le long de cette couche, absolumen t comme si on avait mené une galerie d'allongement suivant sa direction. Il arrive souvent que les eaux cheminant le
Les eaux
long des couches, rencontrent des fissures plus rrevrean,t, "ou moins larges et profondes , dans lesquelles, jour par des elles affluent d'autant plus abondamment fissr"' mais
qu'elles trouvent plus de facilité à s'y mon. ious après SUI n voir ; c'est alors par leur, entremise qu'elles ZsOlrcou_ arrivent au jour. cites. Ces fentes font l'office de galeries menées con,ésur la couche , ensorte que c'est souvent à leur q"";' qui ett resuteut
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