Journal des Mines (1804-05, volume 17) [Image 27]

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SUR LE DYNAMOMÈTRE

qu'WpouVdit mesurer l'effôrt des ina-éhines h-y-

DE M. rtEcNiru.

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effort qui s'élève à

cru que la,matière poussée au dehors par cette

plus de 36 -millierS.1-1'és 'eX`périerices intéres-

prenons en alimens., Ne pourrions-nous pas acquérir des connaissances non moins importantes, si nous avions un moyen facile pour mesurer d'une manière comparable nos forces relatives dans les différens âges de la vie et dans les différens états de

drauliquea de ce;

santes que ces ingénieurs ont faites à cette occasion, ne permetterit'pas de douter que si cet instrument,était plus répançlu dans les mines, il pollittàlt sortv-eht '-i--ëtre-.einployé avec avan-

tage. Ce:motif .iftS»détéi4filiné à le 'faire connaîtrel*tiefilièrernent-daiiià` ce reeireil. Nous sorruneperkuadés queles exploitans'ilous saurons 'd'a:Un:nt plus dé l'Éré de leur én donner une ileSeription détailIée'; 'que M. Regnier a déjà'publiée , et bien'VeittteVoir y faire' pitiiirelirà "thankeiiiehs quis sorittelatifs at)" aux difféYeilra dégxédè p erfe cti on ttà fetàfil dynitinbintre.

bEe9F.PIpNJVI T'a 'EXPERilikeE8'. ONT TÉ FAITES:Alri-C,der, rfeSTR"iiiViË»1". ,

,.. 2 ; 4 I,Efi B.1111..fnr'l

Observativiepreiatin.

-"'%Mqè Sanr1-W n9niine sa ealâtice , fiérd par ei-bsee'esi blp

tra.iipirattônt'lfroi-Pn'à-lîtrepeutj-tiFejiatm'ais rens ,-friétank .etr.des:différeas:Fulliage.4),,,et à,cetgard il a imaginé un àppareil trè.j-ingénieuxpcnir,répéter. facilement ces sortes,d'expériences et,dOubler les-effets du dynamomètre. Le 'Général Aboville dqt.i in ruplé 'Càs meules effets à

l'aide d'une -bascule qu'il a employée polir déterminer:la force de" ses, rones :à voussoirs.. E n fin ; d'au t res: applications 'qui

ont eu rlieuisur,la: manivelle d'un emporte- pièce , ont fait connaître les fers et les acidesies plus convenables à la solidité des cuirasses.

voie ,,était plus de la 111.01,,tM de ce que DORS-

santé ?

Buffon et Gueneau de A/Jontbelliard avaient de grandes vues à ce sujet; ils 'm'avaient chargé

d'imaginer, une machine portative , qui, par un jeu facile et commode, pût les conduire résoudre la questionrqui.les occupait. Ces deux savans COnneesaieTg celle qui fut inventée par Graham, jet,perfectionnée par le docteur Desaguilliers , à Londres ; mais cette machine , formée d'un bâtis en charpcnte , était trop volumineuse et trop lourde pour être portative ; et, d'ailleurs , pour soumettre à l'expérience les différentes parties du corps , fallait plusieurs machines , chacune disposée pour la partie que l'on voulait éprouver-. Ils connaissaient aussi le dynamomètre de M. Leroy, de l'Académie des Sciences de Paris; C'était un tube de métal, de dix à douze pouces de long, posé verticalement sur un pied, pareil

à celui d'un flambeau, et contenant intérieur renient un ressort à boudin surmoi t d'une tige graduée portant un globe : cette tige pouvait, en y a---)puyant un doigt , s'enfoncer plus ou moins caps le tube ; alors l'échelle graduée indiquait la valeur de la pression, et par conséquent la force de celui qui appuyait son doigt ou sa main sur le globe. I) 3