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s TJ R LE DYNAMOMiTR r
pour toutes les expériences qui obligent le res; sort à s'allonger suivant son grand axe, comme cela arrive lorsqu'en essaie la fbrce des reins ;
en un mot, pour toutes les épreuves qui exigent de tirer le ressort par ses deux coudes. Le deuxième arc, divisé en kylogrammes est destiné pour les expériences qui compri-
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ment les deux branches du ressort, comme dans les essais sur la force des mains. . 4. Petite plaque de cuivre qui recouvre le mécanisme pour le préserver de chocs : cette petite plaque porte aussi un arc de division, dont les degrés correspondent à ceux du premier arc de la machine ; et par le jeu d'un petit index qui est sous cette plaque, on juge de tous les mouvemens du ressort. K. Ouverture percée à la plaque de recou-
vrement, pour faciliter le passage d'un petit
tournevis, afin de serrer ou desserrer l'aiguille conven ablem en t.
L fg. 1. Paillette de laiton écroui, portant
une chappe comme celle des aiguilles de boussole , dans laquelle joue' le pivot inférieur du levier qui repousse l'aiguille : cette paillette, faisant ressort, peut céder à une fausse impul-
DE M.- RiGNIER. on vent éprouver la' force de son Corps ouide ses reins. . 6. Poignée double, eh bois, portant un crochet de fer, qu'on tient dans ses ,deux mains lors des expériences sur la force du corps, Q, fig.7. Anneau de fer 'S'ouvrant à charnière pour recevoir le coude du ressort et l'extrémité d'une corde nouée par son extrémité opposée à un palonnier, lorsqu'on veut essayer
la force des chevaiix ou pour (l'autres expériences qui exigent de fixer le dynamomètre à des anneaux. R fig. 8. Manière de tenir le dynamomètre, pour connaître la force des mains..:. S,fig. 9. Position d'un homme :qui essaie la force de ses reins.' T,fig o. Disposition du dynamomètre ,pour
connaître la force ;d'uu cheval:, ou de toute
-autre bête de trait.
III. Effets que l'on peut obtenir avec le .pynainornètre.
recOu'vrement , dans laquelle roule le pivot su-
Soit que l'on presse le ressort de la machine , en le tirant avec les mains, soit qu'on par ses deux extrémités, les deux branches du ressort se rapprochent toujours l'une de l'autre ; et à mesure qu'elles se resserrent, le petit levier du mécanisme pousse devant lui l'aiguille, qui
2. Petits piliers cylindriques sur lesquels pose la plaque de recouvrement, klui y est fixée par trois vis. 0 ,fig. 5. Crémaillère en fer rivée, sur l'empatemen.t de laquelle on 'pose les pieds quand
poussée par l'action qui agit sur le ressort. Cette disposition de l'aiguille a paru d'autant plus nécessaire, qu'elle donne à l'observateur la facilité de remarquer, après l'expérience, le résultat de l'épreuve, au lieu que si cette aiguille
sion ou à un choc, et empêcher la rupture du mécanisme E ,fig. 3 et de son pivot H. .111,fig. 4. Crapaudine rivée sur la plaque de
Nfig
périeur du levier. .
s'arrête et reste fixe au point où elle a été