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que , que le terme moyen du maxi muni de la force des hommes ordinaires , et il se ré'duit à la valeur de 13 myriagrammes (2651.)i ce-qui est- d'accord avec les expériences de Delalure ( et que le docteur Desaguilliers trouvait cependant fautive, comme trop médiocre ). A la vérité, Delahire -entendait parler d'un homme fort, et nous .ne-parlons que des hommes de , moyenne force:
- Ce qu'il .y a de certain, c'est que les hommes
diffèrent bien plus en force qu'en taille, puisqu'on 'voit des porte - faix porter des fardeaux -
pesant jusqu'à dix quintaux, tandis qu'il est d'autres hommes, quoiqu'en état de santé et du même âge, qui ont de la peine à porter un
centà la Merne distance et avec la Même vitesse. On peut donc Conclure de ces différentes 'observations , que nos exercices , notre manière
de vivre, et nos moeurs autant que la nature, influent singulièrement sur nos forces, et qu la facilité que le dynamomètre procure pour en mesurer tous les- degrés dans les différens âges. et les élifférens états de là vie, peut nous conduire à des connaissances utiles pour les conserver, ou du moins Our ne pas les prodiguer aux .passions de notre ,printems , qui doivent plutôt nous fortifier qite. iibus affbiblir.
TROISIE E EXPERIENCE. Force des chevaux. Pim 'n'est peut-etre plus commode que notre dynamomètre pour connaître 'et 'comparer force de g chevaux etbé lie de tciutés les autrèà bêtes de trait. La figure T démontre suffisamment
DE M. liEGNIER. 65 ment les dispositions nécessaires à ces sortes d'expériences, pour s'exempter de donner d'autres explications : les épreuves que nous avons faites à ce sujet ne sont pas bien étendues ; mais comme elles ont été faites avec soin, elles pour-
ront toujours donner des idées assez justes sur la force absolue des chevaux de moyenne force. Pour cette effet, nous nous sommes servis de quatre chevaux de taille moyenne, bien por-
tans et en bon état, et ils ont été soumis l'un après l'autre, et séparément , à la même épreuve.
Le premier a tiré en valeur de. Le second Le troisième Le quatrième
36mYri'g'
38.
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144"'" En prenant le terme moyen de cette somme, on voit que la force des chevaux ordinaires peut être estimée à 36 myriagrammes , ou 736 livres poids de marc. Observations.
Nous avons regretté de n'avoir pas en notre disposition un plus grand nombre de chevaux de différentes tailles, et d'autres bêtes de trait, pour comparer leurs forces respectives ; mais cette donnée peut suffire aux marchands de chevaux et à tous ceux .qui en achètent, pour juger de la force ou :-de la faiblesse de ceux qu'ils voudront soumettre à l'épreuve. On doit observer, dans ces sortes d'expériences, de ne pas faire tirer le cheval par secousses Volume 17.