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journée, en employant le cinquième de leurs forces absolues. ZXPERIENCES SUR LE TRANSPORT DES FARDEAUX.
Une caisse d'environ deux mètres de long
'sur sept décimètres de large pesant brut 24,5 myriagrammes (Soi liv. ) , a été traînée sur un
plan horizontal , comme un traîneau : cette
caisse, pour être mue, a exigé une Myr. Li, puissance de 14 myriag,rarnmes. . 1499 ( 286 )
Idem, sur des rouleaux de 27
centimètres de circonférence.
.
.
Idem,, sur un petit chariot à quatre roues très-basses , de io
2,5( Si)
décimètres de rayon
6,0 (122)
roues de;-7. de mètre de diamètre.
4,5
Idem , sur un petit, chariot à Idem, sur une petite charrette
(
à bras, à deux roues, de 1,5 mètre 3,0 ( de diamètre Observations
..
92)
6i)
Il est facile de juger, par ce tableau, l'avantage que donner) tles roues hautes sur les basses , et la facilité que donnent aussi les charrettes à deux roues pour transporter les marchandises, puisqu'elles n'exigent pas une puis,
.
sauce égale au huitième de leur charge pour être mises en mouvement ( je suppose sur un chemin pavé et horizontal ). On remarquera aussi l'avantage que donnent les rouleaux pour transporter les fardeaux d'une place à une autre : ils les rendent plus de six fois plus mobiles
69, E M. REGN/ER. qu'en les traînant à plat comme un traîneau. Ainsi donc l'ingénieur de Pétersbourg eut raison de préférer ce moyen à tout autre, pour transporter le fameux "rocher Cri' sert de pié';'. destal à la figure du-Czar. On va rapporter ici d'autre expériences qui ont été faites avec soin sur, de grands chariots
de différentes espèces : comme elles présentent des résultats, très-intéressans , on a cru devoir les transcrire littéralement , telles qu'elles ont
été adressées au Ministre de la Guerre par le Comité central d'Artillerie. 1V . Expériences faites au Coniité central de l'Artillerie. A. ExPi.u.TENCES faites sui'de'SChariots à frottement , de la seconde espèce , soumis d l'examen du Comité central'
de l'Artillerie, e.rt vertu de L'ordre du Ministre de la Guerre, en date, du i6 frimaire an 4, dans lesquelles on a pris pinif comparaison un chariot ordinaire d
essieux en boa (i).
EXPERJENCE, sur un plan horizontal et pavé, toutes les voitures ayant été portées (i) Chacune de ces expériences ayant été répétées plusieurs fois , il s'est trouvé quelques variations dans leurs résultats. Parce que les inégalités fréquentes, tant du pavé que du terrain , ont présenté plus ou moins d'obstacles à sur'ion ter. 2°. Parce que les voitures étant traînées par des chevaux leurs efforts ont quelquefois dépassé le degré d'impulsion qui pouvait vaincre la force d'inertie ; mais pour régulariser ces clifferens résultats, on a pris la moyenne proportionnelle.
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