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SUR LA PRePARATIO-N pressé la tringle de fer, au moyen .d'une vis ho=
DES 1%1 rx ERAis D EPLOM3, etc. 2o1
exemple, pour donner à la table une percussion
3°. Note sur les inclinaisons des Caisses et Tables à laver-
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rizontale o, le tout .reste fixe. Cela posé, par
moins forte, on prend A la main la tringle de bois qy, on l'élève de Manière à retirer la tringle de fer z r de sa gaine autant qu'on le juge nécessaire.; cela fait on serre la vis o; au contraire, pour donner une percussion moins forte,
on abaisse la tringle de bois q y, et ainsi de suite, etc. Cette .disposition est avantageuse dans les
manipulations des tables de percussion ; car il est souvent nécessaire de faire varier la force du choc imprimé à la table. Par exemple , plus on laisse couler d'eau sur la table, plus il faut donner de force à la percussion et de vitesse au levier qui la procure ; mais dans le même cas, il faut donner un peu moins d'inclinaison à la table ; d'un autre coté , plus les sables soumis au travail sont grossiers, plus il faut donner de force à la percussion ,afin d'augmenter le mouvement qui s'opère dans la gangue ,et de faciliter sa séparations ; ainsi dans ce cas, il faut aussi
augmenter la vitesse du choc et la quantité d'eau courante en général, la force du choc, la vitesse du choc, la quantité d'eau, de la table, sont quatre quantités telles
que si les trois premières croissent ,la quatrième
doit décroître dans la manipulation et réciproquement ; il faut aussi observer que plus on
donne d'eau, plus il faut entretenir de sable dans la caisse supérieure et réciproquement.
Quant à l'inclinaison des autres caisses et tables à laver, dont il est question dans ce
Traité, c'est à tort que M. de Freiesleben , dans son ouvrage sur le Hartz, dit ( tome I, page 212 , article 299 ,, et page 220 , article 3o3) que l'on fait varier ces inclinaisons à volonté, suivant la nature de la gangue. Les inclinaisons de ces caisses et tables sont invariablenient.fixées, par tout le Hartz , telles que je les présente dans les dessins, et jamais cette, modification ( qui serait peut-être fort bonne en théorie ) n'a été. mise en pratique au Hartz ,.tant parce qu'elle serait incommode et ferait perdre du tems , que
parce qu'il faudrait l'employer trop souvent
dans un bocard où affluent les minerais différens de plusieurs exploitations , etc. . . , comment s'amuserait-on à faire mouvoir tout un s-yst'éme de caisses ou de tables, et cela d'un moment à l'autre? C'est ce que les hommes les plus expérimentés du Hartz ne peuvent concevoir dans l'ouvrage de M. de Freiesleben. La disposition des tables telle que je la présente est au Harz invariable et uniforme pour tous. les ateliers. Au reste , cette erreur par laquelle M. de Freiesleben donne bien gratuitement un démenti à l'ouvrage de Sprengel , qui avait raison, n'est point la seule assertion-légère qui, se trouve dans l'ouvrage cité. {Voyez page 212 9 M. de Freiesleben dit: Dock giebtSprengel , etcA la page 209, article 294 , M. de Freiesleben Lai travailler, titre 4, dans. les caisses à tombeau
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