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DES Mines de Freyberg (en Sa..e) et de cc
leur exploitation. Par J. F. DAUBUSSON (1). L i s mines de Freyherg , dit l'auteur, n'in-
téressent pas la France par elles-mêmes, mais elles peuvent l'intéresser comme un modèle' de mines exploitées avec plan , avec intelliD) pence, avec beaucoup d'ordre et d'économie : comme présentant une suite d'applications et de principes sanctionnés par le succès et l'exNulle part » périence de plusieurs siècles le travail des mines n'a été soumis à des principes suivis aussi exactement et depuis si longterris qu'à Freyberg. Il n'existe peut-être pas
d'exploitation ai] le travail du mineur pro-
prement dit, celui qui a pour objet l'entaille de la roche, soit fait avec autant de
D, régularité. Les machines hydrauliques qui y servent à l'épuisement des eaux, et sur-tout -» celles qu'on -y emploie pour élever les minerais hors des mines , sont supérieures par leur effet et par le fini de leur construction, à ce » qu'on voit en Allemagne de machines de ce » genre ( il ne s'agit ici ni des machines à va)) peurs, ni de celles à colonne). Les procédés » du bocardage et du lavage des minerais (2) , (I) 3v. in-80. avec 8 planches, Leipsic , 1802. A Paris, chez la veuve Villiers, rue des Mathurins.
(2) Ce travail est décrit dans les Nos. 67:, 68 , 76, 73 clu, journal des Mines ; dans le No. 92 ,.ctu 'trouve la description du lavage tel qu'il est usité à Poullaouen (Département du Finistère ) , par MM. Gallois et Beaunier Ingénieurs des mines 5 et dans les N. 98 et 99, M. Héron de Villefosse , Ingénieur des mines , a donné une description des procédés employés au Hartz pour le même objet.