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So SUR LE i%dmoni.E DE M. DRAEPIER. etc.' Pour juger de la variation dont lei- PrinaPeS de la Mine de fer spathique sont susceptibles , on peut comparer avec les résultats précédens celui qui a été obtenu au laboratoire de l'École des Mines, et qui a donné Silice
16iY
MANGANÈSE METALLIQUE.
57,3 1,56
Chaux. Fer métallique.
Oxygène, eau et perte. .
-
3,44 100,00
Afin de ne laisser aucune équivoque S'Ur ce dernier sultat , j'ai remis des échantillons des Minéraux analysés à Moustiers à. MM. Vauquelin , Thenard et Drappier ,' en les priailt de les analySèr. M. Thenard a été conduit à un
résultat Conforme à Célni dé l'École. J'ignore encore si M. Vauquelin a analysé le morceau que je lui ai remis j'attendais son résultat et Min clè M. Drappier, , pour communiquer à l'Institut un ensemble intéressant sur cet objet, lorsque j'ai eu connaissais-e du Méritoire de ce dernier, dans lequel il annonce que le fer spathique ne contient point de manganèse. J'invite ce jeune Chimiste à vérifier ses analyses ; le résultat auquel il est parvenu , est assez important pour mériter d'être confirmé par de nouvelles expériences.
ERRATA, N.. 102. Ex.rosi des travaux en usage à la Fonderie deTarnowitz. Page 4.1,3, 1iei â , 5,33 fr., lise; 5,33 éâtim. 9.,33 ligne 19 , 9,23.. .
l'un et l'autre étaient sans gangue., M. Bergmann ayant fixé principalement son attention sur la présence de la chaux carbonatée, ne s'est point occupé de chercher dans les morceaux soumis à l'analyse, la petite quantité dé manganèS6 qu'ils pouvaient contenir.
JOÎJRNAL DES MINES. N°. 1°4. FLORÉAL AN 1 SUR deux Métaux trouvés clans la poudre noire , restant après la dissolution du platine. Par S ntr 'ruseN TE NNANr. Esq. Membre de la Société Royale de Londres. Tiré da Philosophical Magasine N°. 78.
EN faisant quelques expériences, l'été der-
nier ,, sur la poudre noue qui reste après la
dissolution du platine , j'observai qu'elle ne consistait- pas principalement ( comme on le croyait généralement ) 'en, plombagine, mais qu'elle contenait quelques Substances' inétalliques inconnues. Me proposant de répéter mes expériences avec plus de soin pendant l'hiver, je fis part de mes résultats à Sir Joseph Banks, ainsi que de l'intention où j'étais de communiquer a la Société Royale mon examen de ces
substances, aussitôt qu'il serait en état d'être publié. Depuis , deux Mémoires ont, été publiés en France. L'un par M. Destostils , et l'autre par MM. Vauquelin et Fourcroy. M. Des-
costils a particulièremeut dirigé son attention sur les effets produits par cettesubstance sur les dissolutions de platine. Il remarque qu'il y Volume 18.
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