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TERRAINS. 5o3 Il résulte de ce tableau que le faciès corallien peut se trouver à tous les niveaux depuis l'oxfordien jusqu'au sommet du kimméridien. Pour conserver l'étage corallien de d'Or bign y, il faudrait donc le constituer aux dépens de ces deux formations. M. Waag en préfère le sacrifier en plaçant la limite des deux groupes entre le niveau du cidaris florigemma et celui des astartes.
Limite supérieure du terrain jurassique.
JURA. Les assises supérieures de la formation jurassique du Jura, et spécialement les couches lacustres qui la surmontent, étudiées déjà par MM. Lory, Jules Ma rcou et Pida nc et, l'ont été de nouveau par MM. Jaccar d et de Loriol (i) à Villers-leLac (Doubs). Voici les conclusions de leur travail i° Les dolomies portlandiennes du Jura sont l'équivalent du plattenkalk du Hanovre, des calcaires en plaquettes des Charentes, des calcaires gris verdâtres inférieurs et oolithes vacuolaires de M. Cornue'; elles n'appartiennent pas au portlandien, et forment la base du purbeckien. e Les calcaires et les marnes d'eau douce de Villers et du Jura sont l'équivalent des « miindener mergeln et du « serpulit » Hanovre, et des argiles gypsifères de la Charente. 30 1 est certain que la formation d'eau douce infra-crétacée de Villers et du Jura est l'équivalent des purbeck-beds de l'Angleterre, dont elle représenterait la partie moyenne et la partie inférieure. G" Il n'y a aucune discordance de stratification, soit entre les couches du purbeck et les calcaires marins jurassiques supérieurs, soit entre les couches du purbeck et les premières couches cré-
tacées.
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Conformément à ces idées, MM. Jaccar d et de Lori ol ont
1855.
formé le tableau suivant
(I) Genève,
TomE X, 1866.