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PANDYIN MOMÈTRE
différentiel; mais plusieurs précautions sont absolument indispensables pour que l'appareil inscrive sur le tambour TT l'angle réel et. amplifié 1° 11 faut que les dents des diverses roues r 0,r' 0, r1, r'1, GG,D, soient continuellement en contact les unes avec les
autres et n'éprouvent aucun battement par suite de la rotation du grand arbre AD. Pour cela, l'extrémité postérieure du levier le est munie d'un fort contre-poids P qui force les, dents des engrenages à appuyer les unes sur les autres. 2.° Quelque bien divisées que puissent être nos diverses roue.s dentées, il est absolument impossible que l'extrémité du. levier Il' n'éprouve pas de vibrations, quand AB est. en mouvement.. Afin d'empêcher ces vibrations d'aller se communiquer au tambour TT lui-même, on relie. l'extrémité /'
avec le levier tne, non par un fil rigide, mais par un ressort en hélice. Par suite de cette disposition très-simple, le tambour TT ne traduit plus que les déplacements moyens et stables de l'extrémité . 5° Avec quelque soin que soit construite une trangmission de mouvement, les arbres éprouvent toujours des ba,17-, lottements plus ou moins considérables dans leurs coussi,
nets; et, d'après la description que je viens de faire de notre appareil, il est évident que si l'on n'y portait f0mède, ses ballottements iraient se traduire par des mouvements oscillatoires du tambour autour de son axe, et l'angle
marqué par le crayon sur la circonférence serait fealif. Mais le .remède est ici très-simple. Au lieu 4 fixer à des pièces en repos, et indépendantes de AB, les deux missi, nets yo, y, des axes ab, a' b', on place ces coussinets sur les deux leviers E0,E'0,E1, D',. Les extrémités E0, E'0 de ces leviers posent sur une roulette pouvant marcher elle-. même sur un plan horizontal; les autres extrentité5 Eo, D,
sont munies de douilles qui embrassent exactement des collets tournés sur les canons des deux roues r0, r,. 11 résulte de cette disposition que si, pendant le mouvement,
DE M. UIRN.7 l'une. OU l'autre des extrémités; de l'arbre AD a un jeu quel, couque dans son coussinet, le ballottement qui; en résulte
pour la roue r ou r, se transmet exactement par le levier E0E'0 ou E,E11 à la roue r'0 ou r' et qu'ainsi l'erretui_ dont je parle ci-dessus est complètement. annulée.
J'ai dit que pour déterminer le travail, transffils.
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l'arbre AB il n'est nullement, nécessaire de connaître la valeur de l'amplification que fait subir le pandynamomètre rangle de torsion de cet arbre. Rien n'est, plus facile en effet, et cela sans recourir à aucune formule. sur la torsion.
Désignons par X la distance moyenne. de, la suite des points frappés sur Ti par le crayon de pp,' pendant le tra7 vail, à la suite des points en Urine. droite que frapperait, le crayon Si l'arbre AB tournait à vide-, et par suite SatiS éprouver de torsion., Aux deux extrémités de, l'arbre et au delà des roues ro, r1, on adapte, les deux leviers dont, j'ai parlé page 172 ; la transmission étant débrayée, on les charge
graduellement, en les faisant légèrement osciller de haut en bas, jusqu'à ce que la pointe du crayon de pp' , abaissée sur TT, se trouve à la distance X du zéro, c'est-à-dire de la suite de points tracés quand AB marche à vide. D est évident que le poids mis sur un des plateaux des leviers, augmenté du poids de ce levier lui-même pris au point de suspension du plateau, répondra à l'effort moyen de travail rapporté à la longueur (LM) ou L. Le calcul de travail s'effectuera comme il est dit page 172, et l'on aura 27LN (P +y) F' =,.
PANDYNAMOMÈTRE ÉLECTRIQUE.
Je passe à la description du second appareil, propre à mesurer la torsion d'un arbre pendant le travail. Pl.VII, fig. 1. Supposons que la circonférence des poulies