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DE L',O1Ellaiîf4Z.
PREPAIIATION MÉCANIQUE
- suite de l'introduction ,d -appareils nouveaux.; quelques-uns
(comme le quatrième de .Zellerfeld) peuvent paraître mo-
difiés un peu plus profondenaentl mais,i1 est toujours facile, je le répète, de retrouver sous cette .apparente variété, aine, unité :et une constance parfaite de principes et de .méthodes. Les principes exposés par M. Rivot forment comme .un cadre invariable où viennent prendre .place successive-ment les 'divers. appareils, nouvellement imaginés, et,. ,.en fait,, je puis-clire,eouemerésultat de ma propre expérience, u'estr aucun atelier du Harz:dont, le:travail puisse embarrasser un..seulinstant,»lorsqu'on le visite avec la desMaivot présente à l'esprit. -eription Detoutee ,qui précède, il résulte qu'il n'y a .pas lieu actuellement de faire un mémoire ex pro fesso sur la préparation du .Rarz. .La tâche, que j'entreprends est heureusement plus facile et plusien rapport. ,avec mes forces. je ne veux donner ici :quiun :résumé des notesrecueillies par moi dans
- les nombreuses visites que j'ai-rendues pendant I' éte de 1865
aux.bocards derOberharz et notamment à ceux des vallées de Clausthal et de Zellerfeld. Je ne reprendrai .aucune des .questions traitées par M. Rivot. Je me bornerai à décrire sommairement les nouveaux appareils., à indiquer quelle
- place ils .occupent dans la série des opérations et par quels
- décrirai , ensuite avec
..avantages ils se recommandent. quelque .détail deux bocarcls particuliers, .le .premier de .Clausthal et le quatrième de Zellerfeld : le premier, parce .que bien ,q01 possède quelques-uns des nouveaux appa:.reils, on retrouve, en lui le type non altéré des anciens ho-
rd; le second, au .contraire, parce qu'il offrele type le plus récent, celui qui accusele mieux les exigences et les ten-.dauces, actuelles.. Je mentionnerai ensuite, quelques particu-
larités qui m'ont semblé dignes de remarques dans divers bocards. Enfin je terminerai par quelques ,renseignements
- sur le nouveau grand, bocard ,en construction dont j'ai déjà
(lit un mot tout :Lrheure.
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Afin .que, malt travail ailé sernliieeS ptar trop 'Mea-MI.1,, je
me permets dei repelereb j%iitonstaniiifeitstftig lés yutix
f et qi e ii dotiiiedi ,title le l'eu semé ,des annotatiens faides 'par ré/6W à la description dn maître. le: inernoire de
dtisscige et tYige.,--- Setiéiitae.
Quelques Modificatimis,ent été;ititrioduitès dans' ce travail .depuis I*5.o. les ânciimines .diStiositi'ouSda cassage et dit triage présentaient deiuitt eanda corivérfietit's : le preinier et-le plus grave tenait fàoineck(dê payementt des ouvriers qui
tous travaillaient à la journée ; ils n'avaient aucun intérêt à faire beauc,oup,cle travail ni surtout'àfait saigneuseinent le triage : l isneveillance 1-incessant% dreS, gteige était Iole de 'compense l'insouciance dés o.iiiitiersi.liesecdild cassage. Les vénient :réSultait, de lai'disposition graede
- paftie
du triage cassetusi.devaiegt effaner définitif, car deux variétés seulement pelieicle.istafferi et bergerz) subissaient un scIfeidageeltériene. (iFe les cassées traVaillant avec un marteau k' 161-ig inanthe (Fâustel),
pouyaient; satisliteltddliiereietisteleletkmmtrkiiail, trie ieve;à18Ë , de, wii«,ii ouget la di'viiles frements si.on assez ka., mat? que 'ellacrtiéltegkent. appartînt à une 'tee:lité bien deeffilnée. ilbedab. 'ffiedé (té:Cassâge 'et Des i:85-a; dit eSalitt kotirnèt. triage tep osantsbeleS deuX'eïtiditiëeËiii*rits sdleitligeldiftes:- les eati'été§tliratee§; .tete le cà,SJeÈge-etitrid.ge; 'et elittêÉeSser lsdriié§Ipl.tidiiire lé possible des denk --lîriétés les plus à'vairtageuses, stuffel'i et stérile, et même à produire plus de sc,hurerz que de poeerzvétplüsde pocherz que cle13'ergeiti). Le travail fut par eti dette patities. 1° CasSage auiinftrteàkükldilfeâbiclie ;.(Fâustel) -et triage 8CliicleSttifferz, Schurerz, peériMinaire prodtiseit PocheM. BegerZ et Berg:
Ieètite dlvi