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ROCHES.
REVUE DE GÉOLOGIE.
62 A
Diabase de Szarvasko, dans les montagnes moyennes deilailiongriét Diabase aphonitique de ROstock. Etage B. Barrande. Diabase de Birkenberg; des schistes de Przibram; Et. B. Barr. Sa den,. site plus élevée que les autres tient sans doute à ce qu'elle est mélangée de pyrite de fer.
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o c..,
10,11
.
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a, a..s
E c,
3,55
5,30
99,87
100,00
0'.. -..7-',
1,05 traces
.
A
2,88
45,53
i 5,07
19,25
B
2,84
49,61
11,25
20,31
u
5,77
2,46
C
2,82
50,04
10,28
18,90
u
10,62
3,24
1,70
3,60
4,25 Eau. 2,24
1,74
4,09
4,56
100,10
3,21
3,22
100,23
-
6,35
D
2,72
50,7-1
17,42
12,65
u
8,50
0,40
E
2.90
51,58
14,97
18,84
traces
7,94
0,47 traces
100,62
Ces roches éruptives de la Bohême provenant d'un gisement classique et de niveaux bien déterminés dans la série silurienne, leur analyse offre par cela même un grand intérêt.
Rétinite. DONÉGAL. - Le rétinite porphyrique du Lough-Eske: dans le comté Donégal a été analysé par M. Samuel .1-1 a u o .( I). Perte
SiO2
Al203
re203
CaO
KO
Na0
au feu.
64,04
10,40
9,36
4,24
3,63
2,91
5,13
'Somme
.
55,71
Le rétinite du Lough-Eske est très-basique et contient moins de silice et plus d'oxyde de fer qu'on n'en trouve habituellement dans cette roche. Il passe, d'ailleurs, à. un porphyre - amygdalaire dont les cavités ont été remplies par de la stilbite blanche, d'où l'on conclu qu'il est décomposé ; mais nous ne saurions partager cette manière de voir: La présence de la stilbite dans les cavités d'un rétinite ne démontre pas 'non plus qu'elle soit un élément consti2.
tuant de sa pâte; l'eau que renferme cette dernière paraît plutôt se trouver en combinaison dans un verre hydraté (2). MEISSEN. - Une analyse'du rétinite classique dé- MéiSsen-"a,été' faite par M. le D` F r e es dans le laboratoire de M.' le professeur'
Ch. Raimu els b erg (5). Sa couleur était verte'; sa densité éga
Roches feldspathiques volcaniques:
lait 2,50( et par la fusion de la roche elle s'est élevée a 2,5110.
fluette.
M. C. de Ha u e r (1) a analysé les feldspaths de diverses roches érupth es de la Hongrie et de la Transylvanie. L'une d'elles, la Dacite (2) d'illowa, contient, mélangé avec beaucoup de quartz et de mica biotite, un feldspath strié que sa composition (i) rapproche du labrador, ce qui est remarquable,.car les roches labradoriques ne renferment ordinairement pas de quartz. La (tacite de Nagy-Sebes contient un feldspath (II) dont la composition est intermédiaire entre celle du labrador et de l'oligoclase. SiO,
AI203
CaO
M90
KO
Na0
54,53 55,63
37,37 20,74
9,62 5;78
traces traces
1,81
5,98 5,08
Perte au ri,i). Setrune.
Si02
1P03
Fe203
CaO
Mg0
KO
Na0
HO
Somme.
73,88
1220
1,11
1,07
0,28
2,32
1,60
8,49
100,75
M. Ramm els b erg observe que le rapport de l'alumine.à la silice dans ce rétinite est à peu .près de i
Phonolite. En examinant le phonolite sous le microscope, M z î rk reconnu que sa pâte renferme de la néphéline. En outre il a observé du noséan non-seulement dans le phonolité
I 11
1,61
1,21 1,07
(I] Verhandlungen der geologischenlieichsanslaltV i867; lu 10, (2) Revue de géologie, t. V1, page 90.
100,53 99,91
du llegau, niais encore dans presque tous les échantillons: (t) Manuol of Geology, 2. édition. p. 374. -Phil., magaz. (4), - Ra th : Die Gestein-analysen, p. 10.
D el es se : Rétinites de la Sardaigne. Zeilschrifl d. d. g. Gesellschafl,t. XX, p. 539. Poggendorff aunalen, t. CXXXI, p. 398.
Ses
XIII, p..116: