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f.
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D17:.Di:PA.E.TEMEIVEDE L'AVE-Y-110N.
STATISTIQUE MINÉRAEOGIQU,E
martinet, proviennent de ceux qui ont été employés à la fabrication du verdet à Montpellier, vieux cuiou bien encore des rognures ou des .tire aussi de
- on les
vres de chaudronniersmême de Milhaud
- le
Lodève, de Béziers ou martinaire est de 6 pour déchet qu'on passe au de
loo environ, pour obtenir 5 m-yriagrammes bon cuivre qui consomment 25 myriag,rammes place de charbon de bois, et qui se vendent sur deux francs environ. Le second moulin à cuivre est placé très-proche de Nant , sur une branche duDursou qui traverse
- il
le chemin qui conduit à Saint-Jean-du-Bruel mais il n'y en a y avait autrefois deux marteaux, 15myriagr., de plus qu'un aujourd'hui du poids centimèt. le reste levée est de 16 à 18 et dont la à blé, auquel du local est occupe par un moulin faiétait attenante autrefois une scierie, que tombe qui sait mouvoir le même cours d'eau hauteur de plus du martinet à une sur la roue qui sert au fourneau de 2, mètres; la trompe n'est autre chose qu'un arbre creusé ,. dont le -diamètre est de 45 à 48 centimètres, et qui est renflé aux.; de sa hauteur, en sorte que l'extrémité inférieure de la trompe supplée aux que d'après cette deux tonneaux; j'ai remarqué vient aboutir au creuset disposition, le vent qui 75 centimèl'aide d'une buse de de la forge, à de force s'échappe avec plus tres de longueur, que dans lemartinet voisin et de promptitude, St.-Martin-du-Viguan (i) : quant de l'église de mine de (,) C'est là qu'on prétend avoir exploité une vient aboutir
cuivre dans une colline de grès, dont le pied à une des montagnes au vallon lui-mémo, et qui est adossée calcaires du Larsac ; il ne reste plus aujourd'hui aucune trace de ces anciens travaux.
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au produit en cuivre, et aux procédés dont on se sert, il n'existe aucune différence, et en général ces usines démontrent encore, par leur mauvaise gestion, combien est grande la fofce de l'habitude et des préjugés de la part des propriétaires eux-mêmes, qui se contentent d'un modique bénéfice, plutôt que de s'assujettir à une surveillance; de laquelle il résulterait pour eux une augmentation de produits considérables ; mais alors il faudrait substituer à l'appareil vicieux dont ils se servent, et dans lequel la vaporisation du uivre doit occasionner un déchet sensible , un fourneau d'autant plus économique
,
qu'ils pourraient y consom-
mer un combustible beaucoup moins dispendieux que le charbon de bois, malgré que la plupart des martinets soient placés dans des travers qui sont amplement pourvus de bois je veux parler ici d'un petit fourneau à réverbère, dans lequel ils pourraient mettre en fusion à-la-fois 20 à 25 myriagr. de cuivre, c'est-à-dire
le double de ce qu'ils fondent aujourd'hui,
en.
employant pour cela beaucoup moins de houille
brute que de charbon de bois ; la fonte serait aussi plus prompte, et ce cuivre n'en contracterait aucune aigreur, puisque la fusion ne s'opère dans cette circonstance que par la réverbération de la flamme : alors ils ne consommeraien.t de charbon de bois, que pour recuire le premier masset, qui devrait être coulé en. plaques, d'une épaisseur relative à la force du marteau , et encore ce combustible pourrait-il être remplacé en grande partie par la houille épurée : avec quel avantage les martinets du Lézère pourraient-ils pas être transférés à Villefranche, $