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PAR
BARomItrit
e'cc.
placé dans un courant descendant, y éprouvait une pression plus considérable, et qu'il haussait sensiblement : et , qu'il baissait au contraire au-dessous du niveau propre à sa hauteur lorsqu'il se trouvait dans un courant ascendant. De " pareilles causes pertubatrices ne peuvent être soumises au calcul, et le physicien n'a d'autre ressource contre elles que d'éviter de tomber dans leur sphère d'activité , et de choisir pour cela des teins favorables aux observations : dans
ce cas, il peut se promettre un résultat aussi exact que celui que donnerait une opération.
trigonométrique ordinaire , s'il applique à des observations faites avec soin, la formule donnée par l'illustre auteur de la Mécanique céleste (1). .(1) Ce Mémoire était déjà livré à l'impression , lorsque M.. Biot a donné connaissance à l'institut d'un très-beau travail sur divers objets relatifs à Patmosphèpe. Ce savant et
habile physicien a repris et déterminé avec une précision extraordinaire les différens élémens du coefficient 18336 rn. t
celui qu'il a conclu de ses déterminations n'en diffère .que
de 3 mètres e'ri plus. Nous dounerons un extrait de sou Mémoire dans un prochain Nuniére. Ce n'est également que depuis peu de jours que j'ai lu un Traité manuscrit sur la mesure des hauteurs à l'aide du baromètre, par M. Héron de Villefoee, Iugénieur des mines et Commissaire du Gouvernemei, Ir près les mines et usines dullartz , pendant l'occupation du Hanovre par nos troupes. La partie théorique est sur-tout remarquable par l'érudition qui y règne : elle sert.d'introductiou à un nivellement gé. néral des montagnes et mines du Hertz fait à l'aide' du Lasomèn'e par l'auteur même. Il est à sôuhaiter qu'on reude bientôt public -unouvrage aussLatile whntéressant.
même sens, mais un jour .plus tard ( le vent a ete tout le mois S. O.); etc.
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Volume 19.
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