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HYDRAULIQUE S. 236
SUR LES MACHINES
la l'expérience il'. 9 : cependant le Tableau à 94. donne plus foible dans le rapport de 83 Ainsi, tout porte à croire qu'il y a ici une petite d'eau erreur d'observation, et que la quantitéété de dépensée , dans cette expérience, a 0,095. m. cub. Dans les expériences où la machine ne portoit point de charge , ou plutôt dans celles où est elle n'a produit aucun effet utile, l'accord les petites sur-tout dans moins satisfaisant , vitesses. Mais nous avons dit que ces cas intéressaient moins la pratique ; et on n'en peut
vu. tirer aucune induction contre la théorie, la roue ne
que dans ce cas ( des petites vitesses), , et se meut que d'un mouvement très-inég-al que mêmes circonstances
n'est plus dans les lorsque son mouvement est sensiblement uniforme. 63. Rappelons le résultat de la théorie, ex2.. Sur le rapport en- posé 11°. 55. L'équation tre l'effet et Fr l'eau dépenQ sée.
n
V
nous indique que la quantité d'eau dépensée, produit Q , est en raison directe de l'effet quantité, D' , F v ; en raison inverse d'une du de la grandeur dépendant principalement raison inverse du diamètre , et finalement en carré du facteur ( i --y' ). Dans la même roue et dans les vitesses moyennes, D' étant à peu près constant , .1a quantité
d'eau dépensée sera proportionnelle à Fi'
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ou, en développant en série, à
F (v+ 2
T, + etc. ) , ce qui montre que la. résistance F restant la 37,-/-v3 -4- 4
même, la quantité d'eau dépensée croîtra dans un plus grand rapport que la vitesse y. Voyons actuellement le résultat de l'expérience sur ce même rapport, et en général la corrélation qui existe entre l'effet produit et la quantité d'eau dépensée. Afin de la montrer, nous allons exposer, dans le Tableau suivant, la série des quantités d'eau indiquées dans la colonne VI; ainsi que celle des effets produits,
et nous verrons si elles augmentent dans le même rapport : Pour rendre la comparaison. plus facile, je réduis toutes les séries à avoir l'unité pour premier terme. Je distinguerai. ici les expériences dans lesquelles la machine ne portoit aucune charge, c'est-à-dire, où il n'y avoit pas d'effet utile
réellement produit, d'avec celles dans lesquelles
il y en avoit. Je donnerai pour celle-ci, 10. la série des quantité S d'eau. dépensées Q; 2°. celles
des effets produits F'y , c'est-à-dire, des résistances F ( col. III) multipliées, par les vitesses v (col. IV ) ; 3'. celle du produit de ces mêmes résistances par le carré des mêmes vitesses. Je me bornerai aux deux premières séries pour les autres expériences.