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gulières souvent mêlées à d'autres su bStances (1). On ne l'a ren con tréaque rarement jusqu'ici dans les éjections Volcaniques du Vicen tin. Dol omieu
en avait rapporté des fragmens qui ont passé dans la riche collection de M. de Dreé. Elle
accompagne. l'analchne et la mésotype avec lesquelles_ il. est impossible de la confondre. S'a
couleur- bleue semblait la mettre en rapport
d'une part'avec une variété de chaux anlrydrosulfatée , et de l'autre avec la variété de strontiane sulfatée désignée par M. Werner sous ' le nom de célestin.; mais la dureté du sulfate de chaux anhydre est sensiblement supérieure (i) On:psutivoir :çetw,pu,bstance ,44us la Collection géole fl° i du catagrai,Ilique du, Conseil 'cies logue L;69".
DU VICE N TI N,
SUBSTANCES DES LAVES
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mais la suite de cet article fera voir que l'on a pris, tantôt pour une -yariété de tilbite, tantôt pour de la chabasie , une véritable strontiane sulfatée , dont on était loin de sonpçonner la présence dans la lave amyg,daloïde de Montéechio majore , et dont le gisement mérite d'être Cité , comme étant absolument nouveau. Dans le nombre des substances recueillies Strontiane sullatée. par M. le Comte Marzari , et dont ce savant vient d'enrichir la collection géographique. du Conseil. des Mines , en lui faisant part des observations qu'il a faites dans le Vicentin , nous distinguerons d'abord une substance d'un bleu clair, quelquefois blanchâtre, engagée dans la lave, où elle se présente sons la forme de lames légèrement divergentes , d'une ligne environ d'épaisseur , posées à plat les unes à côté des autres , et formant aussi de petites masses irré-
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à celle de la substance en question, et la pesanteur spécifique de celle-ci, 3,385, d'après l'es-
timation de M. Haiiy, est en revanche supérieure à celle de la chaux anhydro-sulfatée qui n'est que 2,9. ( Traité de , tom. 4,
Pa-g. 348).
Ces caractères suffisaient pour écarter toute. idée de rapporter à la chaux anhydro-sulfatée , la substance bleuâtre renfermée clans les laves du Vicentin. Sa pesanteur spécifique la rapprochait beaucoup de la strontiane sulfitée, dont plusieurs échantillons ont à peu près la même pesanteur, et si elle paraissait un peu faible,
comparée à celle du plus grand nombre des
échantillons de strontiane sulfatée, on pouvait, avec beaucoup de vraisemblance, attribuercetie légère différence aux petits vides qui existent
entre des cristaux groupés confusément, et à
.quelques particules de gangue' qui sont restées adhérentes aux morceaux. Je fus informé qu'un jeune naturaliste avantageusement connu par le Manuel du Illinéra' logiste et du Géologue voyageur, qu'il a pu-
blié en l'an i8o5 , avait travaillé sur la substance bleuatre dont je cherchais à connaître la nature, et qu'il se proposait de lire à la Société des Amateurs des sciences physiques et naturelles de Paris, dont il est membre ,un Mémoire dans lequel il regardait ce minéral, comme une nouvelle variété de chabasie. Ces deux substances ne inc paraissaient avoir d'autre lien entre elles, que celui de se trouver dans des matières volcaniques. J'ai lu depuis dans' le Compte rendu d es travaux de cetteSociété pour l'an 1807, pag. 65, l'extrait du Mémoire de-M. Brard. La. Volume 22,.