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groupe de cristaux de cette substance, composé de quatre octaèdres cunéiformes, dont un IF. J'ai décrit dans mon est représentéfigli Traité, tom. 1V, pag. 34o, l'assortiment de ces par quatre octaèdres, dont deux sont accolésdeux faces analogues à 111 , et les une de leurs autres semblent se pénétrer en partie. La division mécanique ne m'avait offert encore, d'une manière bien sensible, que les joints naturels situés parallèlement à ces faces 111 , M, avec un autre qui passait par l'arête z , et par son opposée. l'angle formé par les premiers joints était d'environ 116 degrés. Ces indices de strucdes cristaux, ture, réunis à la forme octaèdre annoncer une m'avaient paru suffire seuls pour la molécule intégrante différence notable entre de-Parragonite et celle de la chaux carbonatée qui est un rhomboïde dont les faces, prises auentre tour d'un même sommet, sont inclinées elleseenviron io4 degrés et demi, c'est-à-dire 'd'Une quantité moindre de près de 12 degrés que l'inclinaison respective des pans de Parragonite. Voyons d'abord ce que les nouvelles recherches faites sur l'arragonite ont ajouté à ce dernier résultat offert par la division mécanique. Les joints naturels dont j'ai parlé , et qui sont très-nets dans la plupart des cristaux , n'indiquaient qu'une partie des plans nécessaires pour circonscrire un espace de tous les côtés, sorte que la forme primitive de l'arragortite n'était donnée que d'une manière incomplète. A la vérité , j'avais entrevu d'autres joints obli- à une vive lugues à l'axe, en faisant mouvoir d'arragouite
- mais
mière des prismes fracturés
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pour ne parler ici que des premiers c'est- àdire des seuls dont les positions fussent bien connues, on pouvait présumer qu'ils étaient du nombre de ces joints surnuméraires que
l'on aperçoit dans certains cristaux, où ils soudivisent la forme primitive parallèlement à ses Côtés ou à ses diagonales. La chaux carbonatée en particulier fournit des exemples de ces soudivisions (1). J'avais même entendu citer une observation publiée en Allemagne, qui seinLiait favoriser la conjecture dont il s'agit. Voici en quoi elle consiste. On connaît depuis longtems des cristaux d'arragonite en prismes droits hexaèdres, dont les pans font entre eux quatre angles d'environ 116 d. , et deux de 128. J'ai décrit ces cristaux dans mon Traité (2) , et j'ai fait voir qu'ils étaient un assortiment de quatre prismes rhomboïdaux, semblables à celui qu'on obtiendrait en coupant le cristal représenté (fig. ) par deux plans perpendiculaires à l'axe, et qui intercepteraient les sommets dièdres o, o. On voit (fg. 2) la coupe transversale d'un de ces groupes, dans laquelle la distinction des quatre prismes composans O, I,. H , T, est sensible à Le rhombe qui reste (i) Il me serait facile de prouver, si je ne craignais de m'écarter de mon sujet, que ces divisions, querappelle surnuméraires,s'expliquent d'une manière satisfaisante,sans que l'on ait besoin de supposer qu'elles traversent les molécules intégrantes, en sorte que la forme de ces dernières, qui est indiquée par le clivage principal , conserve toute sa simplicité. Ce sera la matière d'un article que je me propose d'ajouter aux généralités de la théorie relative à la structure des cristaux. (.2) Tome 4, page 338.
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