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EXTRAIT D'UNE LETTRE, etc. travail. aurait difficilement mérité de paraître 320
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dans mon Journal, et qu'au cas qu'une pareille opinion n'eût été émise que par impo-
litesse envers M. Vauquelin , je n'aurais certainement pas permis, en qualité de rédacteur, qu'elle fût in.prhnée, puisque j'ai la plus haute estime pour M. Vauquelin , et que je connais très- bien son mérite et ses talens très- rares.
JOURNAL DES MINES. N. 137. MAI 1808.
Vous voyez, par ce que je vous marque, que ni
M. John ni moi n'avons manqué aux égards
dus à M. Vauquelin. Je vous prie donc de vou-
loir bien lever cè petit mal- entendu dans le plus prochain nu. du Journal des Mines. J'ai pensé que le meilleur moyen de répondre au désir de M. Gehlen était de publier, sa Lettre. Je me bornerai seulement à remarquer que personne n'a pu voir un manque d'égard dans le procédé de M. John , puisque les chimistes dont il blâmait la méthode n'étaient pas nommés 5 c'est à ce silence qu'est due la méprise que j'avais commise , ne sachant pas que d'autres que M. Vauqulin eussent attribué à l'acide carbonique la propriété de dissoudre le carbonate de manganèse.
(Note de M. Descostils.)
OBSERVATIONS GÉOLOGIQUES Sun, des Terrains de transition qui se rencontrent dans la Tarentaise et autres parties de la chaîne des Alpes. Par A. J. M. BROCHANT , Professeur de minéralogie à PEcole des Mines (1).
i. T 1E s naturalistes ont distingué depuis long.- Ce qu'on tems deux classes principales de terrains , les primitifs qui ne contiennent aucuns débris de transition. corps organisés et aucune roche de transport, et les secondaires qui en renferment.
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ERRA TA pour le présent numéro. Page 3o3, dans le titre , avec parties bleues et rouges ; sur prime4 et rouges.
Errata die Tome XXII. Page 259, ligne 25, comme l'ont prouvé, lisq, comme l'ont proposé.
(i) Ce Mémoire , tel qu'il est ici publié , n'est pas le même que l'auteur a lu sur le même objet à la Classe des sciences de l'Institut national en mars 1807. Ce dernier quoique renfermant les mêmes observations et les mêmes conclusions était infiniment plus court. L'auteur s'était contenté d'y exposer les faits les plus importans , et il avait retranché des discussions particulières et beaucoup de détails de localités qui auraient été peu intéressans dans une lecture publique mais on les a laissé subsister ici , afin de donner aux géologues qui visiteront ces contrées , et sur-' tont,aux élèves des mines qui y habitent, des indication-:
Yolume t3.
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