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DE LIQUEACT/ON
SUR UN NOUVEAU GENRE
qui me paraiss.aient,devoir être la matière première de certaines laves, et je me suis principalement attaché à deux roches p orphvritiques, l'une à pâte de trapp l'autre à pâte de pétrosilex.,
-Je présente à la, classe les échantillons de chacune des roches que j'ai employées., ainsi que deux de leurs produits. Mes procédés ont été la fermeiure de la matière dans des vaisseaux bien clos, et quelquefois la compression, ainsi qu'on va le voir par l'exposé des dispositions générales que je place ici afin d'éviter des xépétitions ; par la suite , je me con tenterai d'indiquer les modifications que
j'aurais pu y introduire.
J'ai placé dans des étuis de porcelaine ou des creusets de Hesse le morceau le plus gros possible de la moche, et pour ne laisser aucun vicie, j'ai rempli les interstices avec cette même roche mise en poudre impalpable pressée le plus fortemein t possible. J'ai recouvert ensuite la matière
par une lame .de mica (i) , afin d'empêcher le
mélangé avec la poudre de quartz dont j'ai mis une couche épaisse et très:tassée. J'ai fermé après cela les étuis de porcelaine avec des bou-
choils luttés à l'aide d'une matière facilement vitrifiable , et je les ai disposés ainsi dans l'appareil de :compression : à l'égard des creusets je les ai renfermés dans d'autres creusets, aussi avec de la poudre de quartz, et après avoir clos (i) J'ai reconnu que cette substance convenait parfaitement à cet emploi, tant par son élasticité que' par sa diffiCuité à fondre lorsqu'elle est en grande lame.
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le tout par un couvercle lutté avec de l'argile, je les ai ficelés avec du fil de fer. Les pyromètres, à l'exception de la première expérience, ont été placés dans l'intérieur des étuis ou creusets à côté de la matière. Quant aux appareils de compression, je les ai changés plusieurs fois ; les premiers avaient pour objet non seulement de s'opposer à la plus forte expansion des gaz mais encore de garantir des accidens. En reconnaissant que les substances gazeuses n'étaient pas très - abondantes dans ces matières , j'ai simplifié mes appareils. L'énonciation des premiers deviendrait donc inutile , sur-tout né devant- fitire valoir ici aucun des produits que .j'ai obtenus par la compression. Je me suis servi d'un fourneau à courapt d'air recouvert par un dôme.
Première Expérience. J'ai placé dans un étui Cylindrique de porcelaine un morceau de porphyre de Giromani , fond vert, avec cristaux de feldspath. blancverdâtre, coté J'ai placé dans un second étui pareillift.morceau de porphyre des Pyrénées à pâte pétrosiliceuse grise , et à,eristaux informes de feldspath blanc et à grains de quartz gris, coté G. J'y ai disposé- ces matières de la manière indiquée ci-dessus, avec cette différence que la pondre n'était pas impalpable et tamisée , comme dans les expériences suivantes, et qu'il n'y avait
point de poudre de quartz intermédiaire entre la substance et le bouchon. Ces deux cylindres, logés dans l'appareil de