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IT-AUTEURS NIESURIES 258 tè tri e dés montagnes de l'ancienne Auvergne, et
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semble encore-plus étrangère au granite qui leur sert de base., que ne le sont la cornéenne et le trapp, auxquels les laves bien caractérisées doivent ici leur origine. Hors des quatre montagnes qui viennent d'être nominées , on ne retrouve plus la domite , si ce n'est dans quelques protubérances superficielles qui se montrent au voi-
sinage, et dans le Puy - Chopine, montagne peu éloignée , où on la voit associée au gra-
nite , au ,,Trunstein, à des portions de lave trapéenne , a des roches diversement altérées par le feu, assemblage bizarre dont la singularité exerce depuis 'Long-teins la sagacité .des naturalistes. Cette pierre n'est point sous sa forme primitive, car elle a enveloppé çà et là des fragmens de granite. Elle a souffert l'action du feu, car on en reconnaît les traces , tantôt dans ces fragmens , et ,tantôt dans sa propre contexture. Au Moins , elle a été altérée par les agens volcaniques, car certaines parties sont imprégnées d'acide nitrique. Les uns regardent les montagnes qui en sont construites comme chauffées en place ; d'autres les font sortir toutes formées des entrailles de la terre, par un effort prodigieux des gaz dilatés ; plusieurs sont tentés de les considérer comme les restes de la salbande qui accompagnait le filon de cornéenne , où les volcans voisins ont puisé la matière de leurs déjections ; to'us , en un mot, lient leur existence à celle des volcans, et ceux qui savent que toutes les pierres liquéfiées par le feu sent Susceptibles de recouvrer la texture thoïde par un refroidissement lent, accompag,iré
BAROMÉTRIQUEMEN.T.
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d'une pression suffisante, ne répugnent nullement à supposer ici l'action du feu dans toute son énergie, si toutefois l'ensemble deSphén omènes vient a rendre cette supposition nécessaire.
Pour expliquer ces montagnes, il ne nous manque peut-être autre chose, si non ce qui leur manque .à elles-mêmes., savoir, ce que les aceidens postérieurs ont soustrait à leur masse ou dispersé de leurs accessoires. Isolées,
en petit nombre , sans connexion bien apparente avec les montagnes qui les environnent, dernier reste enfin du plus ancien terrain que les convulsions de l'époque 'volcanique aient produit ou. modifié , elles demeureront une énigme peut-être insoluble , si le bizarre mélange qui constitue le Puy-Chopine ne l'ex-
plique pas. Pour déterminer le. jugement, il faut des rapports. Il fallait voir les basaltes de France avec l'appareil volcanique qui les accompagne , pour rendre au .domaine du feu les basaltes de l'Irlande et de l'Allemagne et sans la. connaissance que .nous avons acquise de l'immense système des volcans du Pérou, nous nous demanderi ons probablement encore,
s'il est possible que le porphyre et les phonolites du Mont-d'Or aient coules. 41. LE GRAND SARCOUY. Elévation absolue.
Él6v. abs.
en mètres.
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La montagne des sarcophages , des cercueils. C'est de là et de Cliersou , que les anciens tiraient des tombes fort estimées, parce - que la porosité de la pierre les rendait propres dévorer promptement les chairs. Les cavernes que l'on aperçoit de loin sur les flancs de cette montagne , ont é-té creusées pour. cette extraction, et Pon y voit encore des ébauches de sarcophages tracées sur place.
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