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FORMES CRISTALLINES'
véritable principe relatif à la détermination des variétés cristallisées, consiste en ce que deux formes sOnt identiques lorsque leurs faces sont en nombre égal et ont les mêmes
DIT FER ARSLNICAL. facettes. Incidence de z sur z, 118 d.
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46' ; de I, aussi une: sur z, 16o d. '49'. Cette variété est nouvelles., de celles que j'ai annoncées comme On la trouve dans le même endroit que l'uni-
incidences respectives, quelles que soient d'ail-
-taire.
leurs les figures de ces faces qui peuvent varier à l'infini , suivant qu'elles sont plus voisines ou plus éloignées du centre dans un cristal que dans l'autre. Or, lorsque ces diversités Sont portées à un certain degré , elles changent tout-à-fait l'aspect des cristaux , de manière que l'observateur qui- s'en rapporte , prend une uniquement au jugement de simple modification accidentelle pour l'indice d'une variété distincte. C'est ce qui a eu lieu par rapport à celle dont il S'agit, dans laquelle le changement des trapèzes latéraux en triangles aigus , par le rapprochement des sommets, fait naître l'idée d'une nouvelle cristalisation ; et comme pour mettre l'octaèdre aigu dans sa Position naturelle, il faut
adrioc tonal .71/ E (fig. 6). 5° . Fer arsenical r M .Cette variété offre la réunion des faces terminales de la variété ditétraèdre avec celles de
placer ses deux angles n, b, dans une ligne verticale; il en résulte que la forme secondaire , et par suite , la forme primitive renfermée dans celle-Ci , se trouvent renversées l'une et l'autre ,:eu sorte que la distinction de l'octaèdre aigu , comme variété particulière , n'est pas moins opposée à la théorie qu'à la méthode. ,
4°
Fer arsenical unibinaire 111 E E (fig. 5). M
z
La variété unitaire dans laquelle les arêtes ter-
»minales sont remplacées chacune par deux
/4
1
l'unitaire. Incidence de t sur r, 146.d.
.
La forme du prisme droit rhomboïdal que présen te le fer arsenical, suffirait seule,indé,pendamment de ses angles et des dimensions de la mo-
lécule intégrante, pour distinguer cette espèce de toutes les autres substances métalliques connues jusqu'ici , parmi lesquelles il n'en est aucune dont les cristaux ne se rapportent à des le formes d'un autre genre, telles que le ' Le fer rhomboïde , le prisme hexaèdre etc.cub' arsenical admet quelquefois dans sa composie>
tion une quantité d'argent qui , suivant une analyse de M. Klaproth, peut aller jusqu'à un
huitième de la masse. Il se présente alors sous la forme de prismes rhomboïdaux , semblables à ceux du fer arsenical pur, excepté qu'ils sont plus déliés. C'est le vveisserz des minéralogistes
allemands, qui, d'après les principes de .la nomenclature que j'ai adoptée, doit être appelé .fer arsénical argentifère. La minéralogie offre une multitude d'exemples analogues, dans lesquels les molécules intégrantes de deux substances , qui existent ailleurs séparément se trouvent associées , de manière que l'une des