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NOUVELLE.FORME.CRISTALLINE
'à ces parallélipipèdes le nom de molécules soustractives.
Dans le cas présent , où la forme prhnitive est un octaèdre régulier, sa sou division conduit à des Solides de deux formes .dont l'une est encore l'octaèdre et l'autre est le.
tétraèdre régulier. Or, tel est l'assortiment
forment des rhomde ces deux solides , boïdes dont chacun est l'assemblage d'un octaèdre et de deux tétraèdres appliqués sur deux faces opposées de cet octaèdre. C'est
ce qu'il est facile de concevoir à l'aide des la première montre l'octaèdre séparément., et l'autre ce même
jures 9 et la , dont
octaèdre converti en rhomboïde, par l'addition de deux tétraèdres geba,pfdit, qui
reposent sur les faces ge b,p f d Les rhomboïdes dont je viens de parler , sont
les molécules soustractives que considère la théorie , dont les opérations deviennent parlà indépendantes du choix que l'on pourrait faire de l'un ou l'autre des deux solides C0111pOSallS , comme molécule intégrante. Je rue
borne à indiquer ici ce résultat que j'ai exposé ailleurs avec plus de détail , ainsi que les motifs qui me paraissent établir la .préférence en faveur du tétraèdre (1). Or jusqu'ici la cristallisation n'avait pro-
(i) Traité de Minéralogie , tome H , rage 249 et suivantes.
DE BISMUTH.
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duit une forme semblable à la molécule soustractive , que dans le cas où cette molécule représentait la forme primitive qui alors était elle-même un parallélipipède. C'est ici la première fois qu'elle nous offre un corps semblable à la molécule soustractive , dans un des cas où celle-ci diffère du noyau.
Si l'on supposait que de nouveaux tétraèdres s'appliquassent sur les autres faces de
l'octaèdre primitif, il est facile de voir que leur combinaison avec les premiers tétraèdres g e b a,p f d u (fig. formerait des saillies et des angles rentrans sur le solide qui naîtrait de cet assemblage. Or ces angles étant exclus par les lois de la cristallisation dans la production des cristaux simples, il en résulte que deux faces opposées parmi les huit faces de l'octaèdre ne peuvent être couvertes par des tétraèdres , sans que les six autres ne restent à découvert. Mais comme elles sont toutes égales et semblables , en sorte qu'elles peuvent' être prises indifféremment l'une pour l'autre rien n'indique la cause de cette espèce de choix 'que fait ici la cristallisation de deux d'entre elles , pour les masquer par le prolongement des six faces restantes. Au reste, on a moins de peine à concevoir que cette cause , quelle qu'elle soit , ait pu avoir lieu , si l'on considère que la cristallisation ne s'est écartée , dans le cas présent , de son résultat ordinaire, qui est l'octaèdre parfait , que pour y substituer un solide sem) ,
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