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SUR LA TidORIE D'UNE NOUVELLE ESPÈCE
sont celles que je viens d'indiquer. Mais ici elles sont combinées avec les faces c, c' pa-
rallèles à l'axe du métastatique, et la figure de ces dernières qui serait celle d'un trapézoïde, si elles _existaient solitairement , devient un rhombe , par l'effet de ses intersections avec les facettes y, . Le calcul prouve que l'existence de ce rhombe est indépendante de toute mesure d'angles ; elle peut avoir lieu pour un noyau rhomboïdal quelconque, et tient uniquement à la combinaison des lois de la strucle cristal est terminé de chaque ture. De côté par plus' les fa cettes t, t, qui, avec les faces r et c , donnent la variété soustractive (1) , en
sorte qu'il n'est autre chose que celle-ci:augmentée .des facettes y, y'.
En cherchant à déterminer ces dernières facettes, j'ai reconnu qu'elles provenaient d'une espèce de décroissement intermédiaire dont je
n'ai point parlé dans mon Traité , parce que
je n'en avais rencontré aucun exemple. Ce décroissement a lieu sur les angles inférieurs e da noyau (lits,. z). Soit a A d t (fig. 3) la
..même face que P (fg. 2). Si l'on suppose
que les bords des lames décroissantes appliquées sur cette face , aient successivement des
3) , g h, directions qui répondent à cf ( k n, les lames dont il s'agit subiront un décroissement intermédiaire analogue à ceux qui naissent sur les angles latéraux E, E (fig. 2,), carbonatée. dans plusieurs variétés de Le décroissement , tel que l'offre la j. 3, (i) Traité de Minéralogie, tome II ,
page 153.
DE DIkROISSEMENT INTERAdDIAIRE.
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aurait lieu par des soustractions de molécules
liées entre elles trois à trois, et l'on conçoit
qu'il est susceptible de varier , selon les cliffé-
rens rapports entre les nombres d'arêtes de
molécules soustraites le long des bords h d, dl. Mais ici la symétrie exige que le décroissement se répète en sens contraire, suivant des lignes Situées comme n o,pr, s e , de manière que les bords des lames décroissantes seront représen-
tés successivement par les lignes anguleuses
CX1i,gup, etc.
La loi qui donne les facettes y, y' (fig.].) est relative au cas que je viens d'exposer ; mais elle
est en même-tems mixte et intermédiaire , en sorte que les soustractions se font par cinq rangées en largeur et trois en hauteur, de molécules triples. Le signe représentatif complet du. cristal est e
-}
3
it
D D ./D
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2
)DB. L'incidence r
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de y sur y, ou de y' sur y,' , est de 152' 28,
r,2"; celle de y sur y' de 88d- 55' 6"; et celle de c sur y de 1641. 3' 16". Si l'on adapte pour les diagonales du rhombe primitif le rapport Viii àVï, qui résulte des mesuresde M. Wolaston (1), on trouve pour l'incidence de y sur v, 152d.2$! 48", différence 26"; pour celle de y sur y' , 88d. 56 58", différence i' 5o"; et
pour celle de c sur y, i64 o 8", différence Si l'on conçoit que les faces v, v-,v' , y' , etc, se prolongent jusqu'à s'entrecouper , en mas(1) Transact. philos. an. 18o2.
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