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DES SOU'FFLETS CYLINDRIQUES.
DESCRIPTION ET TIIIORIE semble comme si elles ne formaient qu'un axe continu. On peut, par le moyen de cet assemblage , démonter facilement cette machine,
S. VIII. Description des soufflets cylindriques
lorsque quelques parties exigent des répara-
tions. Commeil est essentiellement nécessaire, pour la régularité de la machine, que- le piston soit levé verticalement, et que, d'après la construction de celle-ci ,il soit tiré obliquement lorsque
le balancier est élevé ou abaissé ; que cette' traction oblique, qui est d'autant plus considérable que la levée du piston est plus grande et le levier plus petit, occassionne des frottemens in.égaux et font user les cuirs, de préférence
dans les points qui sont les plus frottés, je propose d'ajouter, à ces cylindres, le moyen dont
on se sert dans quelques pompes à incendie, et qui est représenté .fig. '9, fig. 20 et
fig. 22. Deux tringles S S attachées à l'extrémité du balancier servent à soulever le piston .P.P ; une nouvelle tige in placée au mi, lieu , passe dans une ouverture faite dans une traverse ab pour maintenir le piston dans une position constante et invariable (1). La tige ni doit être droite et bien polie, l'ouverture par laquelle elle passe doublée en cuivre et souvent graissée.
( t) Dans les machines de Carron, les défauts de la traction oblique du piston existent ; on ne les, a pas éviLés en cm,ployant le moyen que je conseille ici, ( INToté de l'Auteur.)
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doubles.
Les machines à vapeur à double effet , ont donné l'idée, en Angleterre, de construire des machines soufflantes à double effet dans lesquelles le piston produise une masse :l'air égale en montant et en descendant; donc sans interruption. On voit, fi g . 24, le dessin de l'une de ces machines.
A B CD est le cylindre fermé en haut et
en bas.
le piston qui se meut dans le cylindre ;
, la tige cylindrique et polie ayant une ou_PP' verture à la partie supérieure r pour l'attacher à la chaîne. S'S, la boîte à cuir placée sur le milieu du disque supérieur du cylindre , et dans lequel
in
passe la tige du p iston.
u, x, deux soupapes d'entrée d'air : la première lorsque le piston monte , la seconde
lorsqu'il descend y cette seconde soupape x est
attachée à l'extrémité d'un petit levier n
chargé d'un poids pour le faire fermer. E est un tuyau qui conduit l'air de la partie ,supérieure du cylindre dans le réservoir lorsque le piston monte, et p-r- celui par lequel./ l'air passe dans le réservoir lorsque le piston. descend. a ,b, les deux soupapes qui permettent à l'air