Journal des Mines (1809, volume 26) [Image 18]

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SUR LE MINT-RAL APPELII

AITGIT LAMINAIRE.

et leur couleur, et la lumière sont translucides, d'un vert - olivâtre ; observée à la loupe, est d'amphiparmi les variétés d'où l'on voit que angit celle dont le blattriger bole, l'actinote est se rapproche le plus. le rapIl résulte de ce qui précède, que dans de l'amprochement que j'ai fait des analyses d'amphiphibole et du pyroxène (1) , le nompyroxène, substitué à Celui de bote doit être au Naten tête de la seconde , qui est relative des observaPiger augit , et cela par une suite que des tions inattendues, qui rectifient l'idée bres, avaient hommes, d'ailleurs sijustement célè, sorte que conçue de cette dernière substance, en de cette male rapprochement doit être présenté mère; ,42; chaux, 9,8; Ameibole ;Laugier. Silice 7,69; oxyde de fer, magnésie, 10,9.; alumine, manganèse ,.115

eau, 1,92;

22,69; oxyde de perte, 3,85. aup,it , Amphibole ; Klaproth ( blattriger chaux, 9; ). Silice, 52,5

Werner et Karsten de fer, alumine, 7,25; oxyde magnésie, 12,5; 2. 16,25 ; potasse o,5; perte ,Silice, 52; chaux, Pyroxène ; Vauquelin. alumine 3,33; oxyde de 13,2; magnésie, io ; 4,81. de manganèse, 2; perte, fer, i4,66; oxyde de vue des analyses me Ce nouveau point En premier lieu, fournira plusieurs remarques. à celui de la substitution du nom d' amphibole le sujet de la seconde pyroxène , pour indiquer proau but que je me analyse , va directement posais, et qui était de montrer que la composi-

tion chimique des corps qui appartiennent aux deux substances, semblerait solliciter leur réunion dans une même espèce. La meilleure preuve que cette idée 'n'était pas destituée de fondement , c'est que déjà elle avait été réalisée , à l'insu de tout le monde , et que dans une méthode qui repose principalement sur les résultats de l'analyse,. un amphibole rangé parmi les pyroxènes, avait paru se trouver à sa véritable place. J'observe de plus que selon le premier arrangement, la quantité de silice était de 42 sur lao , dans le résultat donné par l'amphibole et de 52 sur ioo dans les deux résultats qu'avait offerts le pyroxène ; et quoique d'autres substances fournissent des exemples d'une variation encore plus grande dans les résultats .relatifs à des corps dont l'identité de nature .n'est pas équivoque, cependant on aurait pu m'objecter que la différence dont il s'agit suffisait pour établir ici une distinction entre les deux substances, comme provenant d'un principe qui a une grande prédominance sur les autres. Mais aujourd'hui que les 52 parties de. silice se trouvent indiquées dans deux analyses , dont

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-(,) Tableau comparatif, pag. 179.

l'une se rapporte à un amphibole et l'autre à un pyroxène, tandis qu'un second amphibole n'en a donné que 42 parties, on voit que lanouvelle distribution est encore plus favorable que' la première, à l'idée que les diversités entre les 'principes composans des deux substances sont purement accidentelles.

J'ajouterai que dans l'article du Tableau comparatif (1) , où j'ai cité trois amphiboles (1) Pag. 176.