Journal des Mines (1809, volume 26) [Image 112]

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.213 SUBSTANCES DES DIPART. DU MORBIHAN'

blance à la craie pourrait la faire désigner sous le nom de Je" Icispczth. craïlorme.

On trouve aussi dans les fentes de la roche

des environs de .Châteaulin, une substance bien p lus intéressan te que les précédentes en ce.qu'elle

-présente des formes cristallines ; elle est dernir transparente et d'un blanc-jaunâtre : je ne pus déterminer la forure des cristaux à :cause de leur petitesse. Quelques-uns cependant paraissent tétraèdres à, eaide de la loupe ; la cassure de cette substance m'a paru vitreuse, et sa dureté est un peu plus grande que celle du verre ; elle est facile à 'casser ;: chauffée au chalumeau elle devient blanche., diaphane tomme un mor, ceau de quartz, puis finit par donner avec peine des signes de .fusion sur ses bords qui donnent un verre blanc un peu nébuleux : chauffée avec le borax, elle ne s'est pas dissoute, ,et ni la.couleur ni la transparence du,glo:bule de verre n'ont été altérées. Cette substance diffère donc par sa forme (qui n'est peut-être que segminiorme dans les cristaux que j'ai ,oririecorinairtre ),de toutes les -substances terreuses .décrites ; sa du-

reté, son insolubilité dans l'acide nitrique, et son incalcinabilité .la séparent des acidifères.

On. doit cependant la regarder comme ter,

reuse , mais comme une .espèce , ou au moins ,comme une variété nouvelle :les recherches qui pourront être faites sur des cristaux mieux prononcés, et sur-tout l'analyse chimique décide-

ront cette question. En attendant, je m.'abstiendrai de la .nommer dans la crainte d'être accusé de néologisme inutile.

Pour compléter autant que je le puis dans

ce moment la description de cette substance que

DU EIN1STi,RE ET DES CÔTES-DU-NORD.

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je-nlai trouvé -qu'en cristaux superficiels et

très-petits , je dirai, qu'à l'aspect je, l'avais pris pour -une variété' de préhnite approchante de la koupholite ; mais elle n'est ni électrique par la chaleur, ni fb,sible en scorie bulleuse ,et boursouflée : elle ne peut être confbndue avec le quartz, -étant moins-dure que, lui, et .d'ailleurs un, peu fusible ;elle diffère du feldspath en ce qu'elle n'est pas lamelleuse, qu'elle ne m'a pas

paru pré-sen ter aucun s des angles de ses formes, et qu'elle est beaueoup plus difficile à fon d re au chai hameau . Pobserveraice pendan t que je lui trouve

beaucoup de rapports avec cette dernière espèce, partieulièrement a ,ariété venant du St.-Gothard , qui est connue,sous le nom d' adzilaire.

Je -crois deVoirecrire, .à la suite des ker-

Roche

SantonS , une,roche,_que j'ai rapportée des en, eienirrs ions-de Nantes ,jetiqui est composéed es mêmes sen-d:1:n-vr lersant"-esp ceS iuë.rei ,mais qui, en diffère en ce que

l'ainphibole,an.lieu d'être ,compacte, s'y trouve petitscristaux noirs lamelleux ; tous lés éléIfiens de cette rachesettrouvent réunis-en trèsipetits grains, do,rotTensemble a l'apparence-du gris oneeet peu tenace; elle se trouve ",-grestl' "POT Meir quelques ,couches ,dans hes carrières de ch e ampliibolique-. des environs ?de Nantes ; est de ,mêmeeim;igine ,t pair ses caractères .

'extérieurs for-niche _passage desiroahes amphiboliqUë,s,aux ,grès.

Pela roche ainphibolique aux trapps il y a variél-5 très-pea de différence, ou même on ,peut -aire iduitaeirr,"s'ée-n_ qu'il n'y en a Aue" dans peu de caractères ex- tre ia roche cetteiopinion est ,celle-des géologues

'aies plus plus distingués Telle-était celle deDolorrneu,

-et -elle est celle deM. laujas , ainsi qu'on le

traepp.